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Brune Sapin nous présente son nouvel ouvrage : "L'âge des Os" Cycle

Publié le par christine brunet /aloys

  1. « On a beau dire

– et rien à dire,

rien n’est perdu -

On a beau sentir l’écorce, parfois - On a beau - On a beau chercher – On a beau idéaliser les futurs –

ne me décrochez pas de là. »

(Ouverture du premier poème du recueil)

 

  1. Biographie

 

Depuis la parution de mon premier livre édité en 2017 aux Éditions Chloé des Lys, l’Écriture s’est faite de plus en plus urgente. De rencontres en ateliers d’écriture créative, alors que j’avais découvert l’année précédente la poésie contemporaine qui fut pour moi une révélation, je cherchais à oser dans le métier d’écrire – et à prendre confiance dans ce qui s’écrivait. La parution de ce recueil aux mêmes Éditions, est d’une grande importance dans mon besoin d’un regard d’éditeur sur mon travail. Pour que la Vie continue d’être ce qu’elle peut paraître : la révélation d’un tourbillon, des profondeurs aux envolées, qu’il s’agit de traduire, en mots comme en photographies. Je suis quelqu’un qui écris pour respirer, et qui respire mieux en écrivant qu’en timides paroles, de mon mieux et vaille que vaille.

(Brune Sapin)

 

  1. Résumé :

 

La Langue des Flammes, les Carnets d’Entretemps et les Éclats de Pensée Pure, sont trois recueils issus d’une même recherche d’une langue qui soit assez proche de la manière dont se présente à nous notre pensée. En cela ils formaient un Cycle à part entière. Par « cycle », j’entendais « cirque », « crique » voire « crypte », ce que signifie « l’âge des os », celui que l’on choisit de donner à sa carcasse plutôt qu’un compte exact bien trop relatif à la porosité du temps. Il fallait qu’une boucle, parce qu’elle avait été ouverte, puisse en arriver à se refermer, de la passion à la « pensée pure ». Il semble avec cette parution, qu’elle soit bel et bien bouclée.

Publié dans Présentation

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Philippe Desterbecq a lu "Declassified" de Christine Brunet

Publié le par christine brunet /aloys

Philippe Desterbecq a lu "Declassified" de Christine Brunet

Premier avis d'un lecteur que vous connaissez tous, qui ne lit plus jamais de SF mais qui a lu tous mes thrillers policiers et le premier tome de HX13... Philippe Desterbecq, le webmaster du blog littéraire "D'un livre à l'autre" ! 

HX13-2 de Christine Brunet

Dans mon jeune temps (il y a très longtemps donc), je lisais et j'aimais la science fiction puis, mes gouts ont changé et j'ai abandonné cette littérature. 

Il y a 6 ans (déjà !) Christine Brunet, que je suis depuis longtemps pour ses polars qui me collent à ma chaise, me proposait son premier roman de SF : HX13 et, à ma grande surprise, j'avais beaucoup aimé ce roman. Ce premier tome est un vrai thriller et j'en avais presque oublié le côté SF. 

La fin laissait présumer qu'il y aurait une suite et, 6 ans plus tard, la voici : "HX13-2" est sorti.  

Je suis toujours content de retrouver les personnages sortis de la tête de Christine. En effet, l'auteure a plusieurs personnages récurrents dont Axelle de Montfermy, l'héroïne principale de ce tome. 

Dans "Le dragon bleu", Axelle se voyait dotée d'une nanopuce nommée HX13, capable d'éliminer les molécules tueuses de la drogue qui lui bousillait le cerveau. Elle faisait un voyage extraordinaire pour suivre les traces de son fils Nicolas qui avait testé un dispositif de voyage spatiotemporel et s'était retrouvée sur Sarx, une planète désertique. 

Dans ce deuxième tome, en plus de se battre contre des extraterrestres, elle se retrouve clonée (son corps n'est plus le sien) et découvre les pouvoirs d'autres habitants de l'espace. 

Mais "HX13-2" reste un thriller et l'équipe d'Axelle (elle a créé la FIRMe après son premier voyage extraordinaire) doit faire face à un tueur de flics...

Son équipe devra, notamment, faire face à des Kiriacs : une race de mercenaires sanguinaires qui interviennent un peu à la manière de tueurs à gages, sur demande d'êtres riches et puissants. 

Inutile de vous dire que les enquêteurs auront fort à faire pour arrêter les "tueurs de flics" ! 

Si le premier tome était plutôt thriller que SF, c'est le contraire pour celui-ci. J'ai donc eu plus de mal à m'attacher à cette histoire qui m'a parfois dépassé. Mais, il est certain qu'elle plaira énormément aux amateurs du genre tant Christine Brunet a de l'imagination et ses romans sont toujours très aboutis. 

Une fois encore, la fin laisse penser qu'il y aura une suite. Faudra-t-il attendre 5 ans encore? Je suis sûr que je retrouverai Axelle est ses acolytes dans d'autres thrillers qui me laisseront sans voix. Un peu de patience...

Pour les amateurs de SF : lancez-vous dans "HX13", mais commencez pas le tome précédent, même si Christine Brunet résume les faits dans le deuxième. 

Et que les amateurs de thrillers qui n'ont pas encore découvert l'écriture de Christine n'hésitent plus. Le dernier en date "Malfarat" est une merveille (un de mes coups de coeur 2023), mais vous pouvez peut-être commencer par son tout premier roman "Nid de vipères" où on découvre Axelle (qui s'appelait alors Aloys). Vous me suivez? 

 

Philippe Desterbecq

http://phildes.canalblog.com

 

Publié dans avis de blogs

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Olivier Fellemans nous présente son ouvrage "Confinement, mon amour"

Publié le par christine brunet /aloys

Résumé

« Voilà ma dernière question… Est-ce que ce coup de téléphone a confirmé des choses pour toi ? »   « Oui… ça a tout confirmé et même plus »

 

Biographie:

Olivier Fellemans est un bruxellois né en 1982. Marié et père de deux petites filles. Passionné par les romans et l’écriture depuis son plus jeune âge, « Confinement, mon amour » est son premier roman. Inspiré par la crise sanitaire et boosté par le temps offert par le confinement, il réalise enfin un des grands rêves de sa vie : écrire une histoire qui sera publiée. C’est d’abord vers des textes de chansons qu’il fait ses premiers pas dans le monde de l’écriture. Chanteur dans un groupe de Punk-Rock il expérimente l’humour, la politique et la critique sociétale comme thème de création. Ensuite c’est vers les nouvelles qu’il s’orientera. Bien qu’aucune n’ait été envoyée auprès de maison d’édition. Professionnellement il commencera sa vie dans le social. Animateur, éducateur en AMO, éducateur de rue, le secteur social de Bruxelles n’a plus trop de secret pour lui. Mais par la suite, il s’orientera vers une autre de ses grandes passions : la cuisine. Il est aujourd’hui chef dans un restaurant d’un centre social du quartier populaire de Cureghem à Anderlecht.

 

Présentation

Et si le confinement ne finissait pas ? Et si la Covid 19 était hors de contrôle ? Et si les morts se comptaient par dizaines de milliers ? Et si les barrages militaires empêchaient tout déplacement ? Et si des milices d’extrême droite faisaient la chasse aux malades et … à tous ceux qui dérangent … ? C’est maintenant le quotidien d’un couple vivant reclus dans leur maison de campagne de la grande banlieue bruxelloise. Difficile de dormir dans ces conditions. Mais ce n’est pas tout. Il y a ce rêve. Il fait le même tous les soirs depuis plusieurs semaines. Il rêve d’un homme : Robin. Et d’une femme : Celia. Ces deux là tombent amoureux, sur les réseaux sociaux, pendant le confinement. Ils ne peuvent ni se voir, ni se toucher, seulement songer à ce que pourrait être leur vie, leur rencontre, leur amour, sans la maladie. Enfin plus ou moins… car Robin est marié … aussi.

Pourquoi rêve-t-il d’eux ? Existent-ils vraiment ? Pourquoi Robin et Celia hantent-ils ses nuits ?

Aujourd’hui c’est décidé, il parlera de son rêve à sa compagne. De toute façon, impossible de sortir, la milice est là, tout près ! Elle répand la violence dans la rue.

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Edmée de Xhavée nous présente l'ensemble de ses ouvrages en images !

Publié le par christine brunet /aloys

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Christine Brunet chronique pour ActuTV le t3 de la saga "Les meurtres surnaturels : Le triomphe de Julian Kolovos" de Joe Valeska

Publié le par christine brunet /aloys

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Dans la revue "Bruxelles culture", un article pour le roman de Jean-François Foulon "Ici et ailleurs"

Publié le par christine brunet /aloys

Dans la revue "Bruxelles culture", un article pour le roman de Jean-François Foulon "Ici et ailleurs"
Dans la revue "Bruxelles culture", un article pour le roman de Jean-François Foulon "Ici et ailleurs"

Publié dans Article presse

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Jean-François Vanhole présente son roman "Storyboard"

Publié le par christine brunet /aloys

Résumé

« Storyboard » est un roman noir psychologique à suspense qui raconte le télescopage de deux personnages en transition. Estelle sort d’une rupture affective, Louis entend se réorienter professionnellement. Il vient de quitter un emploi de banquier et souhaite à la fois publier un livre et trouver un travail alimentaire. C’est ainsi qu’il postule dans le centre culturel d’Estelle. La rencontre est détonante. Les deux protagonistes entament alors une relation souterraine assez originale. Parallèlement, Louis propose en vain son ouvrage à une petite maison d’édition. Il s’aperçoit que le patron harcèle sexuellement sa réceptionniste. Survient alors la violence…

Court extrait

« Je lançai une recherche sur Facebook, je trouvai pas mal de photos d’Estelle dans le cadre de ses activités culturelles, mais ce n’était pas cela que je désirais. J’arrêtai tout de suite. Je réprimai cet instinct primaire que je sentais ressurgir en moi, celui de chasseur. Je ressentais cette pulsion de la traquer sur Internet, de faire le tour des réseaux sociaux pour la pister. Peut-être faisait-elle partie de ces personnes imprudentes, qui, sans le savoir, laissent traîner des lambeaux de leur existence sur le Net, qui, patiemment, mis bouts à bouts, permettent de connaître leurs habitudes, leurs préférences et, en somme, une bonne partie de leur quotidien et celui de leur entourage. Cela me permettrait peut-être d’inverser les rôles et, tel un fauve, de la surprendre au moment où elle s’y attendrait le moins. Mais, non, ce n’était pas son style, une fille intelligente ne s’éparpille pas sur le Net. Estelle n’est ni frivole, ni boulimique en matière de médias sociaux. Je n’en sais rien, mais je l’induis de sa personne, de son apparence, de ces nombreuses qualités que je lui prête ou que j’aimerais qu’elle possède. Car, après tout, je ne la connais pas, je la connais peu, mais je peux me sentir euphorique à l’idée qu’au bout de trois rencontres furtives je sais tout d’elle et qu’un petit morceau de son vécu, désormais, m’appartient. L’instant d’après, je me ressaisis et je constate combien elle a déjà pris pied dans mes pensées, combien elle occupe une place de choix dans mon univers étriqué ».

Biographie

Jean-François VANHOLE est né à Tournai (Belgique) en 1977. Il a toujours été parcouru de passions diverses. L’écriture en est une. Elle lui a permis dès l’adolescence de partager des émotions souvent au détour de correspondances extensives. Il a écrit un premier livre autobiographique jamais publié car trop personnel. Cet exercice a été à la base de l’écriture de STORYBOARD qui est une première publication. Cette fois, le récit se veut captivant. Il ne s’agit plus de se dévoiler mais de construire une histoire basée sur des personnages attachants. L’auteur est ce que l’on appelle en Belgique un « navetteur ». Il se rend presque chaque jour en train à Bruxelles pour y exercer son activité professionnelle. A ce titre, STORYBOARD est construit autour d’une idée simple : que les navetteurs  qui le liraient, regretteraient d’en devoir interrompre la lecture à leur arrivée à la capitale. L’auteur a vécu dans les quartiers bruxellois où se déroule l’intrigue. Le caractère noir et psychologique du roman correspond au ressenti de l’auteur. Il y avait déjà dans ces quartiers une violence latente et sous-jacente qui explose aujourd’hui. Si l’on tient compte du temps d’écriture et de publication, STORYBOARD est aussi un roman d’anticipation.

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Christine Brunet en invité du blog Aloys avec une chronique de Philippe Desterbecq dans son blog pour "Malfarat"

Publié le par christine brunet /aloys

Christine Brunet en invité du blog Aloys avec une chronique de Philippe Desterbecq dans son blog pour "Malfarat"

 

Je l'ai attendu pendant 3 ans (c'est qu'elle en a mis du temps, notre auteure de polars marseillaise ), mais ça en valait la peine ! Le voici, tout nouveau, tout beau, avec une écriture un peu différente, une intrigue à couper le souffle, des personnages qu'on aime ou qu'on déteste et, cerise sur le gâteau, des faits historiques. 

Je l'ai dévoré et je l'ai adoré. Une totale réussite ! 

Le titre tout d'abord m'a intrigué : "Malfarat", jamais entendu ce mot. Curieux, je demande à mon ami Google et Malfarat existe, il s'agit d'un manoir datant du XVIe siècle situé à Charlieu en région Auvergne-Rhône-Alpes dans lequel vous pourrez louer une chambre si vous le désirez. 

Photo de cet établissement dans la galerie

Ce manoir fait partie intégrante du récit. 

Les ingrédients : une lettre datant de 1943 (un ordre de mission à décrypter), des tableaux volés par Mussolini, des jeunes femmes qui disparaissent et des méchants, des méchants qu'on adorera voir mourir ! 

Oui, car je suis comme l'héroïne, Gwen Saint-Cyr, dont le lecteur a fait la connaissance dans un roman précédent, légiste et membre d'une organisation secrète qui a ses lois, ses juges et son exécutrice, j'aime quand les méchants disparaissent de la surface de la terre ! Trop de malfrats sont des récidivistes qui ont purgé des peines trop courtes ! 

Gwen n'a peur de rien, pas même de la mort puisqu'elle se met régulièrement en danger. C'est un super flic, une super héroïne qui a eu un passé douloureux. 

Cette fois, une de ses amies a disparu. Elle est chargée de la retrouver et de découvrir ce qu'il s'est passé. Avec ses collègues, que les habitués des romans de Christine Brunet connaissent bien, elle va mener une enquête qui la mènera très loin. Elle se la joue souvent solo. D'abord, c'est dans son caractère et puis, comme membre de cette organisation secrète, elle ne peut pas tout révéler et surtout pas le rôle qui est le sien dans cette sorte de société parallèle, société que ses collègues voudraient bien infiltrer. Ces derniers n'hésiteront pas à la trahir si besoin est...

D'autres filles disparaissent, des paumées, des prostituées, mais aussi des filles de la haute. L'enquête va partir tout azimut et, Gwen avance petit à petit dans cet imbroglio dont elle ne sortira pas indemne, mais je connais les fins imaginées par Christine et je pense que l'on retrouvera la légiste dans un prochain opus. 

Que dire de plus sans trop en dévoiler? Que si vous commencez "Malfarat", vous ne pourrez plus le lâcher ! 
 

Un très bon polar de Christine Brunet si ce n'est pas son meilleur ! L'auteure serait-elle comme le bon vin? 

Courez acheter "Malfarat", vous ne serez pas déçus ! 

smiley 1

 

PHILIPPE DESTERBECQ

http://phildes.canalblog.com

 

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Christine Brunet chronique pour ActuTV "Si on est une femme convenable" de Chiara Stella Aquino Benitez"

Publié le par christine brunet /aloys

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Poème 7 du recueil poétique signé Carine-Laure Desguin : Le vieux de la zéro/vingt-trois 

Publié le par christine brunet /aloys

7

 

ses ongles des griffes

la pandémie

éloigne tout de tout

les pinces à ongle

des ongles

les ciseaux 

des cheveux

les jeunes 

des vieux

l’eau

du bain

et il va s’en dire

quitte à tout bousculer

les hirondelles 

du printemps

le vieux

de la vieille

et l’épitaphe 

de ma tombe

ironise le vieux

de la zéro/vingt-trois

à deux doigts de son euthanasie

délivrance 

nouvelle lumière

envol vers 

d’incertains vertiges

 

In recueil Le vieux de la zéro/vingt-trois 

 

Publié dans Poésie

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