Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Edmée de Xhavée nous présente son nouveau roman "Lovely Brunette, tout simplement"

Publié le par christine brunet /aloys

 

Biographie

 

Edmée De Xhavée est Belge, pour ce que cela veut dire. Belge depuis plusieurs générations qui ont exporté et apporté des gènes d’ici et d’ailleurs. Une famille souvent nomade « pour les affaires » et donc bien du désordre non pas dans la lignée mais dans les habitudes et souvenirs. Née lors de cette époque bénie de l’après-guerre où tout renaissait dans l’espérance, la jeunesse des « golden sixties », des enfants des fleurs, les débuts des voyages et des découvertes. Écrire est son album de photos un peu menteur un peu audacieux. Ce livre est son douzième.

 

Extrait

 

Elle était alors une petite fille privilégiée, ni pauvre ni malheureuse mais aussi informée de la frontière entre elle et les autres enfants que ces autres enfants l’étaient pour leur part. Car vêtue de son affreux maillot rouge, elle se tenait pensivement à la grille du château pour regarder au loin ces joyeux galopins dévaler le chemin dans des boites à savon, se cassant gaiement la figure et se défiant sans crainte. Et eux devaient l’imaginer gavée d’un dessert gigantesque et peut-être même lui envier cet affreux maillot rouge…

 

Synopsis

 

“Un roman d’amour” à une maman fantasque et trop vivante pour vraiment mourir. Pas une biographie, mais des anecdotes tendres, amusantes, touchantes, qui en font un portrait précis et peut-être surprenant pour qui ne connaissait d’elle que ce qu’elle consentait à montrer aux non-intimes. Et faire l’inventaire joyeux de tout son héritage génétique et comportemental est un bonheur à partager…

Publié dans Présentation

Partager cet article
Repost0

Jacques Lagneaux nous présente son ouvrage "Atmosphères intimes"

Publié le par christine brunet /aloys

 

 
1. Extrait
 
Ils n’ont plus rien à se dire, alors ils se taisent. À quoi bon parler encore quand tout à été dit ? À quoi bon relancer une conversation qui ne déboucherait sur rien de plus que ce qui a déjà été ressassé longuement, encore et encore ? Il vient toujours un moment où les mots sont inutiles, voire même où parler de la pluie et du beau temps, de la guerre ou de la paix, pourrait devenir la lame acérée du couteau qui tranchera dans ce qui fut.
 
2. Biographie
 
Jacques Lagneaux, musicien, comédien, conteur, auteur, est avant tout amoureux des mots. Plus particulièrement de ceux que l’on a oublié d’utiliser depuis longtemps et qui dorment sur l’étagère la plus haute de la mémoire collective. Il écrit pour le plaisir de surprendre et de déclencher des émotions heureuses.
 
3. Résumé du livre
 
De la chaleur des déserts africains à la dérision hollywoodienne, ces quinze nouvelles plongent sans détours au plus profond de l’intimité de personnages tantôt drôle, tantôt graves, mais toujours vrais. Dans ces univers contrastés, chacun pourra retrouver des parts de soi que la vie a dispersées.
 
 

Publié dans Présentation

Partager cet article
Repost0

Serena Bardano nous présente son ouvrage "Et si j'osais ?"

Publié le par christine brunet /aloys

1 – Court extrait :

A mon avis, quand vous êtes déprimés, vous ne devriez pas écouter de musique. Vous risqueriez de retomber sur ces chansons qui vous font pleurer comme une idiote, enchaînant les boîtes de mouchoirs et remplissant les poubelles de votre tristesse sans jamais réussir à vous en débarrasser véritablement.

 

2 – Biographie :

Serena Bardano est née à Argenteuil, près de Paris, en 1985. Elle a choisi un pseudonyme avec le nom de jeune fille de sa grand-mère d’origine italienne, afin de lui rendre hommage.

Elle a fait ses études universitaires à la Sorbonne, à Paris, où elle a obtenu un Master 2 en littérature et un autre en langue française.

Et si j'osais ? est son premier roman destiné à la publication.

 

3 – Résumé du livre :

Et si j'osais ? est à mi-chemin entre le roman et l'ouvrage de développement personnel. Ce livre écrit à la première personne se veut propice à la réflexion et partage des problématiques étudiantes comme des questions plus existentielles que nous nous posons toutes et tous. Il aborde ainsi des sujets tels que l’amour, l’amitié, la famille, l’éducation, le travail, les loisirs, les peurs, la maladie et le deuil.

Publié dans Présentation

Partager cet article
Repost0

Pascale Gillet-B nous propose une note de lecture du dernier roman d'Edmée de Xhavée "Lovely Brunette, tout simplement"

Publié le par christine brunet /aloys

Belle lecture que nous offre Edmée avec ce dernier roman. A découvrir absolument.

Lovely Brunette est une femme qu’on aime infiniment à travers les mille anecdotes que l’auteur nous livre avec tant de tendresse, de vérité et de drôlerie que nous pensons les avoir vécues.

Ainsi, nous suivons Lovely Brunette dans sa cuisine où elle passe la journée entière à faire blinquer l’argenterie de toute la maison, papotant avec sa fille.

Un autre jour, en voyage en Yougoslavie toujours en compagnie de sa fille, Lovely échappe à Lerno, un contact épistolaire trop tenace et insistant en s’égarant dans un chemin terreux  qui aboutit à une décharge sauvage de détritus.

Nous l’accompagnons aux séances de cinéma du mercredi après-midi. Lovely Brunette y emmenait ses enfants selon un horaire bien à elle sans lien avec l’heure du début du film de sorte qu’ils découvraient parfois la fin d’une histoire avant son commencement.

Nous rencontrons Lovely, l’écuyère parfaite et ses chevaux. Nous caressons ses chiens, entre autres Tara, sa dernière chienne qui a vieilli et s’est assagie avec elle.

Nous mangeons ses  pâtes Miracoli, préparées à sa façon.

Nous nous sommes également promenés dans son somptueux jardin fleuri et parfumé, réelle présence vivante et bruyante qui se figea sous le gel le jour de sa mort.

Au-delà de ces anecdotes savoureuses - je n’en relate que quelques-unes - il y a  par-dessus tout l’amour, l’admiration et le respect d’une fille pour sa mère.

Voici quelques extraits qui m’ont touchée et révèlent la poésie de l’écriture d’Edmée.

 

«Maintenant je les regarde, ces photos d’une enfant ravissante et je réalise que pour arriver à la vieille dame lasse et chiffonnée, il lui a fallu foncer en avant comme un train, tête baissée. Prendre des pelles, renoncer à de candides espoirs, en construire d’autres, aimer, faire mal, se faire mal, pleurer d’amour et de rire, blesser, trahir, guérir,  réconforter. »

« Son moment de gloire, la gomme qui effaça bien des souffrances et des doutes. Et dont les photos prouvent combien, à 47 ans… elle avait encore tout le scintillement de la Lovely Brunette ! »

« Chaque voyage laissait un petit carré de la mosaïque qu’elle assemblait. »

« Nous nous sommes souvent disputées. Je vous dis disputées mais jamais je ne l’ai insultée ou ne lui ai parlé grossièrement. Nos disputes furent volubiles, sonores, suivies de longues et chaudes périodes fusionnelles. »

« Le soir tombé, nous étions repues de bavardages, d’intimité, de flots de mots qui auraient pu paraître inutiles  –certes, nous n’avions pas changé le cours du monde-  mais avaient ajouté quelques longueurs au tissu de notre lien, ce tissu qui encore aujourd’hui qu’elle n’est plus (ici), ne s’est pas rompu. »

« … la malice qui nous unissait en milliers de mots qui ne devaient même pas être prononcés. »

« On savait bien peu que l’on vivait des étincelles de bonheur. »

« Elle entre en courant d’air dans mes pensées alors que je me crois absorbée par autre chose. » 

Je ne cite pas la dernière phrase qu’Edmée a écrite, c’est pour moi la plus belle dans ce roman d’amour.

 

Pascale Gillet-B.

 

Publié dans avis de lecteurs

Partager cet article
Repost0

Ani Sedent a lu "La chute de Julian Kolovos" de Joe Valeska

Publié le par christine brunet /aloys

 

 

Alléchée par quelques extraits choisis, je me suis plongée dans la lecture de Meurtres surnaturels – La chute de Julian Kolovos ‒ de Joe Valeska.

  En l’ouvrant, je reconnais avoir éprouvé un peu d’appréhension, pour deux raisons : la première, tout bêtement parce que je n’avais pas lu le premier tome ; inquiétude inutile car l’auteur raccroche si bien les wagons que le second tome peut être lu indépendamment du premier.  La seconde, (désolée Joe) parce que je n’aime pas du tout les films d’horreur et craignais un afflux d’hémoglobine. 

  Bon ! il y en a eu… un peu, pas suffisamment cependant pour me détourner de ma lecture.  D’autant plus que le voyage nous emmène dans des lieux étonnants, souvent extraordinaires, en compagnie de personnages insolents, drôles, parfois acides ou cabochards, mais toujours dévoués les uns aux autres et finalement très attachants. 

  Entre ombre et lumière, entre sang et cocktail, ce roman est de ceux qu’on n’a pas envie de lâcher et dont on se trouve, à la fin, envieux de connaître la suite.

 

 

Ani Sedent

 

Publié dans avis de lecteurs

Partager cet article
Repost0

Bruxelles City News parle de l'ouvrage de Bernard Depelchin "Pourvu qu'il pleuve"

Publié le par christine brunet /aloys

POURVU QU’IL PLEUVE de Bernard Depelchin
 

Faites partagés avec vos amis sur les réseaux

POURVU QU’IL PLEUVE de Bernard Depelchin

Ludovic est assis sur un banc public. Pause-déjeuner après une pénible matinée au bureau.

Engourdi par les rayons d’un soleil radieux, il plonge dans son passé. Soudain, venu de nulle part, le souvenir d’Anna, son amour d’enfance. Qu’est-elle devenue ? Trente-cinq ans qu’il ne l’a plus vue. Troublé par cette fulgurance, il la recherche sur Internet et tombe sur une photo de son visage. Un visage qui le bouleverse profondément et ne le quittera plus.

Une seule photo aura suffi à bousculer le quotidien lassant de Ludovic. Son obsession pour Anna ne faiblit pas, lui colle à la peau et déclenche en lui un profond séisme. Une remise en question de toute sa vie. La raison s’éloigne petit à petit et une idée folle agite son esprit : partir à la conquête d’Anna. Mais après tant d’années écoulées, que lui reste-t-il à offrir ?

Editions : Chloé des Lys

Publié dans Article presse

Partager cet article
Repost0

Edmée de Xhavée nous propose une présentation de "Lovely Brunette, tout simplement"

Publié le par christine brunet /aloys

 

 

Elle est arrivée! Lovely Brunette est arrivée… (Edmée De Xhavée)

 

Lovely Brunette, c’est ma Mammy. Et non, ce n’est pas sa biographie. Elle n’est jamais montée sur une scène, n’a fait aucun tutorial sur comment avoir des lèvres pulpeuses et des seins de marbre, n’a assassiné personne, ne s’est pas droguée, n’a été à la tête de rien si ce n’est de sa vie. Donc à quoi servirait une biographie ?

 

Ça n’en est donc pas une. Mais ça la révèle bien mieux. Les anecdotes sont comme les touches de pinceau sur un tableau impressionniste. Oui oui, on la devine si bien, ah qu’on aime sa gentille candeur, ses réactions spontanées, son aisance dans sa situation d’excommuniée par notre mère la Sainte Eglise (bien peu sainte…), son adaptation aux caprices du sort, sa loyauté envers qui l’aimait, et l’insouciance qu’elle avait quand elle me disait de ne pas croire telle ou telle « vérité » religieuse ou sociale qu’on m’avait présentée. Le « bon évêque » dont on nous vantait la sainteté en classe car il avait converti toute la principauté était un vrai sadique qui faisait lier dos à dos les téméraires qui osaient vouloir rester des païens paillards et impies et hop !, dans le fleuve. Une méthode de conversion que les Talibans auraient appréciée… Non non, ce petit garçon était bel et bien très bête, mais son papa très riche, aussi terminait-il en tête de classe en fin d’année, tout s’expliquait et était normal.

 

Dans la vie, faut pas s’en faire, toute les p’tites misères seront passagères etc…

 

Comme toutes les vies, la sienne eut ses hauts et ses bas, ses coups de soleil et de blues. Comme tous les enfants, l’ingratitude naturelle nous faisait penser qu’être notre Mammy était son travail gratifiant et qu’elle ne devait faillir en aucune circonstance. Qu’elle était, en même temps, une femme qui faisait face au menu que la vie lui avait composé, ça ne nous effleurait pas. Pas plus que l’héritage de la joie de vivre qu’elle a laissé. Toute mon indépendance, ma « forte tête », c’est à elle que je la dois. Elle me qualifiait de rebelle, ce qu’elle était avant moi, mais autrement.

 

Lovely Brunette, c’est tout ce qu’elle m’a raconté, écrit, confié d’elle. C’est tout ce que j’ai vu sans le voir et admire aujourd’hui.

 

Quelle femme !

Publié dans Présentation

Partager cet article
Repost0

Bruxelles City News parle du roadmovie de Coraline Buchet "Une petite Belge en Aptearoa Nouvelle-Zélande"

Publié le par christine brunet /aloys

 

Une petite belge en Aotearoa Nouvelle-Zélande

Après son périple à rebondissements en Australie, Coraline choisit une destination pour elle. Aotearoa Nouvelle-Zélande, un pays où reprendre plaisir à randonner, où retrouver les montagnes, où s’épanouir en solo. Jusqu’au jour où sa patronne lui donne le numéro de téléphone qui va changer sa vie. À ses côtés, foulez la terre au long nuage blanc dans un récit poignant d’émotions et d’aventures. Découvrez comment lâcher prise. Apprenez comment repousser les limite et faire de l’infini une possibilité…

Déterminée, éclectique et l’esprit fourmillant d’idées, Coraline réalise ses rêves l’un après l’autre. Après une vie désorientée en Belgique et 5 ans de voyage, elle se passionne à présent dans une vie proche de la terre et riche d’expériences ene Aotearoa Nouvelle-Zélande.

 

 

https://bruxelles-city-news.be/une-petite-belge-en-aotearoa-nouvelle-zelande/

Publié dans Article presse

Partager cet article
Repost0

Un article dans l'Avenir pour le premier roman de Luc Degrande

Publié le par christine brunet /aloys

Un article dans l'Avenir pour le premier roman de Luc Degrande
Un article dans l'Avenir pour le premier roman de Luc Degrande

Publié dans Article presse

Partager cet article
Repost0

Le blog "Les lectures de Maryline" ont chroniqué le recueil de nouvelles "Point de beauté" de Louise Flipo

Publié le par christine brunet /aloys

http://leslecturesdemaryline.eklablog.com/point-de-beaute-a214015485?fbclid=IwAR35QDRjyzjW1dRP1c6GKMH1G-ctdATnIK6cmv417KjsWxbhS6tDulXRbPM

http://leslecturesdemaryline.eklablog.com/point-de-beaute-a214015485?fbclid=IwAR35QDRjyzjW1dRP1c6GKMH1G-ctdATnIK6cmv417KjsWxbhS6tDulXRbPM

Résumé de l'éditeur :

Le grain de beauté, lorsqu'il était apposé sur le visage, portait le nom de « mouche ». Ce petit rond de taffetas ou de velours noir, selon qu’il était mis en évidence sur le coin de la bouche ou dans le décolleté, révélait un trait du caractère de celle qui l’arborait. Il attirait l’œil, décentrait l’attention, faussait l’image.

Ici, des personnages se croisent, des vies particulières se touchent. Insidieusement, les mouches se posent et travaillent à modifier les choses…

Peut-être n'y a-t-il  point de beauté.

 

MON AVIS :

Ce recueil de nouvelles est assez singulier, je dois dire. Et je ne sais pas trop comment aborder cette chronique. Les textes sont sympas, parfois complètement déjantés, de temps en temps drôles, et bien souvent surprenants.

Je ne vais pas vous détailler tous mes ressentis sur chaque nouvelle, car certaines m'ont laissée dubitative, mais je peux vous dire que j'ai adoré la première, Sang-froid, dans laquelle l'auteure nous bluffe avec un dénouement complètement fou ! Et si une amitié venait du voisinage ?

J'ai adoré la deuxième histoire, À vue d’œil, je me suis un peu revue chez l'ophtalmo. En effet, quand il nous demande de lire les lettres au fond de la pièce, on a tellement peur de se tromper qu'on essaie du mieux qu'on peut de les lire et d'avoir la bonne solution. Comme si on passait un test hyper important ! Très drôle, l'héroïne de cette nouvelle s'y emploie...

J'ai également beaucoup aimé la nouvelle intitulée À quai, toute mignonne, tendre et assez drôle. Quant à la suivante, Salle d'attente, j'ai beaucoup apprécié l'imagination débordante du patient qui attend son tour...

Les autres, j'avoue ne pas les avoir toutes comprises.

J'aimerais beaucoup avoir l'avis d'autres lecteurs, alors n'hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé...

Publié dans avis de blogs

Partager cet article
Repost0