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Valérie Dereppe nous présente à sa façon son ouvrage à paraître "Etrange présence"

Publié le par christine brunet /aloys

 

 

La pupille, ce trou noir dont l’iris est le soleil...

 

Mettre photo de couverture avec miroir soleil noir en son centre

 

Cet opuscule, Étrange présence, narre la rencontre entre un être de Lumière et son habit de matière, entre le fond et la forme qui revêt ici le surnom de Lou. Lou traverse une crise existentielle et cet être de Lumière -son ange en somme-, va remettre un peu d’ordre dans ses idées, dans ses pensées et, ce faisant, la tirer vers le haut.

 

Extrait :

 

- Pourquoi me racontes-tu tout ça, pourquoi à moi ?

 

- Parce que tu m’as appelé et que tu vas l’écrire.

 

- Je t’ai appelé ?... Non mais je rêve ou alors il te manque une plume !

 

- J’apporte une plume à ton âme pour réapprendre à voler…

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Geneviève Dehareng nous présente son ouvrage à paraître "Au nom de l'Amour, avec Margaux

Publié le par christine brunet /aloys

Biographie


 

Née en 1964, Geneviève Dehareng habite à Ciergnon en Belgique. Assistante de laboratoire, elle travaille en milieu hospitalier. Elle a toujours aimé écrire que ce soit pour d’autres personnes, ou pour elle. Pendant plusieurs années, elle a fait partie d’un groupe de « rédacteurs bénévoles » au sein de la clinique où elle travaille, et a rédigé des articles pour la revue trimestrielle distribuée à tous les membres du personnel, aux médecins traitants et aux abonnés. Jamais, elle n’aurait pensé éditer ce recueil qui est son chemin parcouru depuis le premier « flash » envoyée par sa fille Margaux décédée en 1999, à l’âge de 5 mois. Son livre est le récit des signes qu’elle reçoit, agrémenté de réflexions personnelles.

Geneviève emprunte, malgré elle, le chemin de l’invisible et se trouve de plus en plus intuitive et sensible. Pour elle n’a d’importance que la personne humaine, ses joies, ses souffrances… Le reste ne représente plus grand-chose à ses yeux. Elle est passionnée par la relation avec autrui, les soins palliatifs, la spiritualité, l’écriture, la lecture, la cuisine, la céramique, les plantes, la forêt, la nature, l’aromathérapie.


 

Geneviève Dehareng nous propose 2 extraits de son ouvrage :


 

Mai 2016
 

Tôt le matin entre 5h et 6h, je transcris mes écritures à l’ordinateur. Concentrée sur mon ouvrage, je savoure la quiétude de l’instant. Quand tout à coup apparaît sur l’écran une image fugace et furtive remplissant la totalité de l’écran avec, comme message, « Si vous voulez changer d’image… cliquez ici. » Même si c’est très joli, je n’y prête guère attention. L’image reste quelques secondes devant mon regard avant de disparaître. Je retrouve mon texte à l’endroit laissé et continue à œuvrer. Ce n’est que quelques jours plus tard que je comprends ! Cette image si forte, tellement symbolique, si belle ornera la couverture de mon livre ! Eh oui, comment n’ai-je pas compris plus vite ? Oui, cette image représente un sublime coucher de soleil, dans les tons orangés, au bord de la mer avec une silhouette fine, élancée aux longs cheveux… vue de dos !  « Mais oui, c’est toi, Margaux ! » Tu as dix-sept ans en nos cœurs… Quelle invraisemblable similitude entre cette image et le « flash » de 2006. Nous ne sommes que dix ans plus tard !


****

 

Régulièrement, je me mets à rêver d’un monde sourire aux lèvres, authentique et bienveillant aux couleurs de la gratitude. Et le fait d’y penser, c’est déjà l’instaurer un peu car la force de la pensée dépasse l’entendement. Aujourd’hui, je sais que la pensée n’a pas de frontières, elle va à l’infini. La pensée constructive cumulée à l’action forme un délicieux mélange mais il est vrai que notre condition humaine nous enferme dans des stéréotypes, des préjugés, des clichés. Enchaînés par nos croyances, notre ego et nos peurs, nous limitons inconsciemment notre horizon de vie. Nous ne prenons plus le temps de nous occuper de notre « être », accaparés que nous sommes par tant de choses à « faire pour paraître », devenant dépendants de notre image. Alors, on court sans se poser de questions, aveuglément mais vers quoi ? Vers la course à l’illusion ? C’est comme si nous marchions à côté de notre ombre !

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Jérémie Lahousse nous présente son roman à paraître "Fennec"

Publié le par christine brunet /aloys

 

 
Présentation du roman Fennec : 
 

Azzam Zahir, fraichement diplômé de l’université d’Alger vit un véritable cauchemar : ses deux parents décèdent dans un incendie qu’il devine criminel. Voyant l’enquête stagner, il décide de s’y investir corps et âme en s’engageant dans la brigade mobile de police judiciaire. La police devient sa famille et sa moto sa meilleure amie.

Un jour, un groupuscule extrémiste inconnu des services de renseignement met la pression sur l’état pour qu’il applique à son échelle leur vision des textes sacrés. Devant le refus du gouvernement, des attentats pleuvent, les morts s’accumulent et les menaces gonflent.

Pauvre Algérie… N’a-t-elle pas assez souffert ? Et que va-t-il se passer si personne ne les arrête ? Azzam n’est pas celui qui compte répondre à cette question.

Il est celui qui fera en sorte qu’on ne la pose pas. 

 

 

En voici un avant-goût : 

 

 

8 décembre 2020, Sétif, Algérie 

 

 

Par une nuit plombante qu’aucune étoile n’illuminait, le lieutenant était couché, la crosse lambrissée de son fusil de tireur d’élite Accuracy Lapua Magnum contre le creux de son épaule encore douloureuse, un œil ouvert, l’autre se fermant par automatisme.

Se détendre. Plus les muscles sont relâchés, plus le tir est précis. Ça, c’est la théorie. En pratique, seul le résultat compte. Il soupira lentement, la lanière en tissu bleu nuit se tendit, signe d’un mouvement inopiné. Tous les sens en alerte, il compta jusque dix. À dix, cet enfoiré sortira et il le criblera de plomb plus proprement que s’il avait demandé l’euthanasie. En fait, le lieutenant était en train de rendre service à beaucoup de monde, il en était convaincu. Pas à la cible bien sûr,  mais à l’Algérie tout entière, ainsi qu’à l’humanité. Personne n’a envie que vive un gars qui assassine comme il respire, sauf lui-même, ce qui rend son avis minoritaire par rapport à ceux des autres, et ça c’est un point de vue purement démocratique. Le lieutenant adore la démocratie, et il entend bien la faire respecter.

 

Qui est l’auteur ?

 

Né le 22 Février 1985 dans la ville de Tournai, en Belgique, Jérémie Lahousse a côtoyé des écoles de sa région natale : St Éleuthère pour le degré primaire et St André Ramegnies-Chin pour le secondaire. Il a ensuite continué son cursus scolaire à la Haute école Francisco Ferrer où il a obtenu un AESI en éducation physique. Après avoir décroché son diplôme, il travailla quatre ans comme éducateur sportif à Evere, puis comme psychomotricien à Anderlecht, pratiquant la méditation et le yoga avec ses élèves. En parallèle, il s’initia au Tennis de table, au Tai-Chi, au mandarin ainsi qu’au vietnamien.

Durant son parcours scolaire il est amené à se produire en spectacles de théâtre, lesquels reçoivent une certaine ovation. Il participe également à un court métrage qu’il réalise et joue. Salué par ses professeurs pour son écriture dès le degré primaire, sa plume et surtout son imagination ne l’ont jamais quitté, pour le meilleur et pour le pire ! On peut même dire qu’elles ont jalonné son parcours scolaire, du type : « math : encore dans la lune, français : belle créativité », son chemin de vie s’en retrouve plus chantant, et son pc plus encombré. 

 

Curieux ? : http://bulles.co.nf/

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Antonia Iliescu nous présente son nouvel ouvrage à paraître aux Editions Chloé des Lys "Poésies en gouttelettes-Epigrammes"

Publié le par christine brunet /aloys

 

Un nouvel ouvrage intitulé « Poésies en gouttelettes – Epigrammes » de Antonia Iliescu va bientôt paraître chez les éditions Chloé des Lys. 
Un extrait :

(…) J’ai conçu ce volume par le soin d’attirer l’attention du lecteur sur un genre de poésie qui, malgré son heure de gloire dans le passé, est aujourd’hui peu pratiquée et donc, peu connue. Le livre que je vous présente ici comprend deux parties distinctes :
Le premier volet est fait d’épigrammes et polygrammes originales, illustrées par l’auteure, groupées dans vingt-et-un thèmes : sur l’épigramme, politique, les lois de la physique, religieuses, vieillesse, épitaphes, histoire, l’art divinatoire, mariage et amour, enfants, écrivains et écrits, sur la bêtise, nature, rats, sur les voleurs, sur les chefs, internet, la chimie de la vie, agape, thèmes divers.
Le deuxième volet offre un bref regard sur l’histoire de l’épigramme dès son apparition en Grèce antique et jusqu’aux temps modernes, quand on observe une tendance à disparaître comme genre littéraire (surtout en France et en Belgique). 
(…) Si celui qui prend cet ouvrage dans ses mains ne s’ennuie pas, mon but est atteint.

 

Et une épigramme :

« 
Noir et blanc » 
(thème pour un concours d’épigramme)  
Écrire en noir et blanc c’est difficile,
Ce n’est pas tout à fait mon style. 
Alors, devant le thème, j’ai échoué ;
La preuve que je suis très… nuancé.

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Chloé Derasse nous présente son ouvrage "Douceur violette"

Publié le par christine brunet /aloys

 

BIOGRAPHIE

 

Chloé Derasse est née à Tournai en 1987. Dès sa plus tendre enfance, un carnet à la main, elle dessine des soleils et des dauphins, elle met des mots sur les paysages de son esprit, elle invente des histoires de familles heureuses et y fait chanter ses questions d'enfant.

Elle ponctue ses études de traduction-interprétation à Mons et de communication multilingue à Bruxelles, de séjours à l'étranger (Panama, États-Unis, Espagne, Brésil et Chine) avant de revenir s'installer à Bruxelles.

L'écriture la suit, la poursuit. Sa plume évolue mais son amour des mots ne tarit pas.

«Douceur violette» est son premier roman. Il est l'aboutissement d'un travail long et douloureux, entamé il y a plus de dix ans et c'est avec émotion qu'elle le partage avec vous aujourd'hui...

 

 

RESUME

 

Lorsqu'un secret de famille éclate au grand jour, c'est toute sa structure qui s'en trouve modifiée. Dans ce roman bouleversant, il est question de famille, certes, mais aussi d'amour. De beaucoup d'amour. D'un amour aussi fort que dévastateur parfois.

Tout y est : le passé, le présent, l'avenir, la peine, la joie, l'horreur et le poids des non-dits.

Le lecteur est tenu en haleine jusqu'au dénouement final.

Une réelle découverte des méandres de la vie, de ses combats et de ses espoirs.

 

EXTRAIT

 

Emma entendit un bruit de pas dans le couloir qui menait à sa chambre. Elle l'identifia immédiatement. Les pas avaient beau se faire extrêmement discrets, l'enfant les distinguait, elle reconnaissait l’affreux craquement des santiags qui avançaient doucement sur le plancher vieilli.

Elle frissonna. La porte derrière elle allait s’ouvrir à tout moment, elle le savait.

Si seulement elle avait pu s'isoler.

Si seulement elle avait pu avoir l’âge de sa sœur aînée à qui on avait laissé placer un verrou.

Emma, du haut de ses neuf ans, avait été déclarée trop jeune pour pouvoir s’enfermer. Elle n’avait donc d’autre choix que d’accepter le crissement de ces santiags noires qui avançaient à tâtons dans le couloir et pénétraient de plus en plus souvent le secret de sa petite chambre violette

Pourquoi ?

Pourquoi elle ?

Pourquoi pas Marie ?

Emma n’avait jamais compris. Il n'y avait pourtant que deux petites années de différence entre les deux sœurs... Deux petites années qui avaient tout changé.

La fillette se mit à sangloter. Elle allait se retourner, mais déjà la main de l’homme lui caressait les cheveux et elle comprit qu’il était trop tard. Une fois de plus, elle ne pourrait rien dire. Il la tira doucement en arrière, la forçant à s’allonger. Ses larmes n’y changeraient rien, et pourtant elle ne parvenait pas à les contenir. Elle avait beau connaître le rituel sur le bout des doigts, elle n’avait pas la force de le désamorcer. Sa peur l’en empêchait.

Elle renifla, un peu trop fort sans doute, car l'homme plaqua la main sur sa bouche, la privant presque de respirer.

Emma ferma les yeux. Le fixer lui était impossible. Le monstre l’intimidait tellement qu’elle aurait fait n’importe quoi pour ne pas avoir à affronter son regard.

L'heure n'avait plus d'importance. De jour comme de nuit, lorsque son père était absent, elle lui appartenait.

D’un mouvement brusque, il souleva la robe en dentelle de l'enfant et lui attrapa fermement les cuisses de ses deux mains. Elle voulut crier, le supplier de ne rien faire, juste pour une fois. Elle voulut se débattre, mais comme d’habitude, elle n’osa pas.

Enfin, dans un moment de douleur atroce, Emma...

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Younes El Berdaoui nous présente son ouvrage "Siège"

Publié le par christine brunet /aloys

 

Younes El Berdaoui est pharmacien d’industrie, musicien-compositeur et auteur résidant à Bruxelles. Son premier roman, Siège, est le produit de longues escapades hivernales dans un salon de thé Saint-Gillois.

 

Résumé

M.Y. se réveille un lundi matin et décide de rester enfermé dans sa chambre à regarder la télé. Cela ne plait guère à son entourage. Un dialogue de sourds s’ensuit. Les voisins s’emportent. La tension s’accroît. Des angoisses, des divagations, des malentendus s’alternent d’un côté et de l’autre dans une ambiance kafkaïenne teintée d’humour. Sous ce siège, la révolte de l’individualité échoue lentement mais sûrement.

 

 

Extrait

« Peut-être que M. Steiner avait raison, se dit-il. Peut-être que la vie n’a pas de sens. Peut-être que seules les sensations sont réelles. Tout le reste du brouillard. Peut-être que l’homme n’a qu’une mission, celle de vivre et de sentir. Et peut-être que vivre se résume à cela ; observer un moineau se promener sur le bord de sa fenêtre ; regarder la mer scintiller au soleil ; sentir le café des voisins à l’aube ; humer un figuier ; observer une gousse d’ail se débattre dans de l’huile d’olive ; sentir l’effet brûlant du miel dans sa gorge ; verser des larmes en dénudant un oignon »

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Gaëtan Debiève nous présente son ouvrage à paraître aux Editions Chloé des Lys

Publié le par christine brunet /aloys

 

 

Je me prénomme Gaëtan, j’ai 49 ans et suis fonctionnaire. J’ai déjà été publié une première fois chez Chloé des Lys il y a quelques années, il s’agissait d’un recueil de poèmes intitulé «Cette Poésie-là ». Depuis, l’idée d’écrire un roman me taraudait et j’ai fini par m’y mettre mais il me fallait un sujet qui m’inspire.

 

Le roman à paraître s’intitule « Souvenirs d’un Soldat de la grande Guerre » et il raconte l’histoire de mon arrière grand père qui fût mobilisé en 1914 à la veille de la première guerre mondiale. Il a combattu 4 ans dans les tranchées sur le front de l’Yser et au travers des anecdotes qu’il a racontées et qui m’ont été transmises par mes grands-parents, par mon père ou par des connaissances l’ayant fréquenté j’ai conçu ce roman.

 

En voici un extrait que je trouve assez parlant :

 

« LES GAZ,LES GAZ… ». Déjà, des volutes jaunâtres se répandent au

ras du sol et les hommes fouillent leurs besaces à la recherche

du précieux masque qui leur permettra de respirer sans en

mourir. René voit qu’à quelques mètres de la tranchée que lui

et les autres parvenus jusque là occupent maintenant se tient

« Tête de pioche » qui a perdu son masque à gaz et qui essaye

de se frayer un chemin entre les corps étendus et les trous

laissés par les obus éclatés. Il trébuche et tombe en roulant

dans un de ces trous et René l’entend crier. Il se met aussitôt

sur ses pieds et fonce dans le cratère au fond duquel son ami

gît étendu, il se penche sur lui, prend une profonde

respiration, retire son masque et le plaque sur le visage de son

camarade qui tombe peu à peu dans l’inconscient.

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Gérard Le Goff présente son roman à paraître "ARGAM"

Publié le par christine brunet /aloys

Présentation du roman Argam par Gérard Le Goff

 

Argam. Curieux nom pour désigner un domaine plus étrange encore. La propriété d’une diva adulée : Martha de Hauteville. Elle brilla sur la scène des plus grands théâtres du monde, vécut un amour passionné et irréprochable, fut cruellement blessée dans sa chair comme dans son âme. Elle s’exila dans son manoir d’Argam, bâti sur un caillou perdu que ronge la mer. Elle mourut là, oubliée de tous ou presque. Son tombeau occupe un emplacement si discret dans le parc délaissé qu’on peine à le découvrir.

De toute façon, nul visiteur n’est admis en ce lieu. On se rend donc là dans la clandestinité. Comme ce dément évadé qui abandonna son manuscrit dans un carton d’emballage. Comme ces gens, si savants, si respectables, qui prennent des risques pour élucider l’énigme contenue dans le récit de cet aliéné.

Alors ? Une histoire de fou ? Une enquête ? Une légende avec apparitions garanties de spectres ? Un jeu ? Un peu de tout cela ?

A propos de jeu, on notera que les lettres de ce nom se retrouvent dans la célèbre comptine enfantine :

« Am, stram, gram,

« Pic et pic et colégram… »

Un peu facile, me direz-vous. Mais les mêmes lettres sont aussi insérées dans le mot : anagramme. Le courageux ou inconscient lecteur qui parviendra à la fin de ce récit le découvrira alors : Argam en est bien un. Mais trouvera-t-il, comme il se doit, toutes les réponses aux questions posées ?

 

 

Notice biographique.

 

Né en 1953, Gérard Le Goff a été successivement enseignant en lettres, cadre administratif de l’Education nationale et conseiller en formation continue.
A entrepris depuis son départ en retraite de se plonger dans ses archives, encombrées de manuscrits (sédiments d’avant la révolution informatique), de tapuscrits, de synopsis et de diverses autres élucubrations – plus ou moins inachevés. Un salutaire travail d’élagage (comme on le pratique avec un vieil arbre encore viable) lui a permis de finaliser des textes à peu près cohérents.
S’en est également suivie une reprise salutaire de l’activité d’écriture : de nouveaux romans, de nouvelles nouvelles et toujours de la poésie.
Travaille en parallèle la peinture et le dessin, accompagné par une artiste professionnelle, qui parvient à le supporter.
Les éditions Encres Vives-Michel Cosem ont publié six plaquettes de ses textes poétiques en 2018 et 2019.
Par ailleurs, les éditions Traversées ont retenu pour publication à l'automne 2019 son premier recueil :L’orée du monde.
A également publié quelques poèmes et textes courts en prose dans les revues : Haies Vives, Festival Permanent des Mots et Le Capital des Mots.
Une de ses nouvelles (Le jardin dérobé) est parue dans le numéro 90 (mars 2019) de la revue Traversées.
Son premier roman Argam va être publié prochainement par les éditions Chloé des Lys.

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Carine-Laure Desguin nous parle de "Putain de pays noir"

Publié le par christine brunet /aloys

 

 
Dealer et combinard pour arrondir ses fins de mois, Jérémy (dit Jem), un soir de défonce, tabasse son père, un bourge de pharmacien. Au cours de sa cavale, il rencontre Angel, une droguée notoire, qu’il connaît depuis longtemps.
S’ensuit alors pour ces junkies un road movie urbain dans les rues de Charleroi. Sexe, violence extrême et autres défonces sont au rendez-vous de ce suspense haletant d’une noirceur totale.
En plus d’une incursion dans le milieu sulfureux et décalé de ce Pays Noir, l’intrigue se déroule dans un Charleroi en totale reconstruction.
  Carine-Laure Desguin est née le 7 février 1963 à Binche. Elle aime sourire aux étoiles et dire bonjour aux gens qu'elle croise. Elle a commis pas mal de choses en littérature (romans, théâtre, poésies) et dans d’autres espaces aussi (enregistrement d’un slam, mises en musique de ses textes par Ernest Hembersin). Dans son palmarès, quelques prix et entre autres en 2014, elle reçut le Prix Pierre Nothomb.
Depuis 2012, C.-L. Desguin est collaboratrice pour le Salon du Livre de Charleroi (Alchimie du Livre) et chroniqueuse pour une webtélé (www.actu-tv.net). Ses textes poétiques (ou pas) se lisent dans diverses revues littéraires.
C.-L. Desguin est membre de l'Association des Écrivains Belges, de l’Association Royale des Écrivains et Artistes de Wallonie, des Artistes de Thudinie et du Cercle Littéraire Hainuyer Clair de Luth. Tout cela c’est très bien. On attend la suite.
 ISBN : 978-2-87595-219-6
Prix : 4€ ( + 1€ en envoi postal)
disponible chez :
Tout libraire peut commander ici:
Maison de la poésie d’Amay
BP 12, B–4540 AMAY
Tél. : + 32 (0) 85 31 52 32
Fax : 00 32 (0) 85 31 54 32
E-mail : distribution@maisondelapoesie.com
Egalement achetables en ligne sur ce site www.lamiroy.be. 
 
 
 
Sur le blog  http://carineldesguin.canalblog.com/press book, palmarès, actu et évènements de l'auteur.  
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Céleste Savigny présente son ouvrage "Vingt-quatre étoiles"

Publié le par christine brunet /aloys

Biographie

Née le 28 mai 2000, Céleste Savigny se lance dans l’écriture à l’âge de dix ans en imaginant quelques poèmes, au fur et à mesure quelques petits textes. Et c’est quelques années plus tard que cela deviendra une réelle passion. Entre les livres et la plume, elle poursuit un parcours scolaire en latin-grec durant ses années de secondaire.

Sportive également, elle pratique depuis ses huit ans de la natation synchronisée.

A l’âge de 15 ans, elle écrit un recueil de textes intitulé « Au cœur des mots de l’océan » qui sera publié un an plus tard, aux Editions du Panthéon.

Peu après, elle se retrouve hospitalisée pour une dépression, et c’est au cours de cette dure épreuve qu’elle se met à écrire son roman « Vingt-quatre étoiles » qui sera publié aux Editions Chloé des Lys quatre ans plus tard.

En septembre 2018, elle fait son entrée à l’Université Libre de Bruxelles pour poursuivre un cursus en langues et lettres françaises et romanes.

 

Résumé :

 

A l’âge de huit ans, un soir de novembre, Elia connaît un tragique accident de voiture avec sa mère. En un fragment de seconde, c’est une étoile de plus qui apparut dans le ciel.

 

Et au réveil, elle n’entendait plus.

 

Dès lors, elle apprit à vivre dans un monde où seul le bruit de ses pensées venait rompre le silence.

 

Sa vie, redevenue monotone, se voit alors perturbée peu avant les vacances de février lorsqu’elle découvre des lettres laissées par sa mère. Celles-ci deviennent alors une énigme qu’elle se donne à résoudre et c’est en creusant dans les mensonges et les souvenirs qu’elle va réaliser qu’on ne sait jamais qui l’on est réellement.

 

Extrait :

 

« Je n’aime pas les rêves vous savez, cette réalité controversée qui se réduit à néant lorsque la lumière du matin vous éveille, je n’avais jamais aimé ça. J’ai toujours trouvé ça cruel de nous offrir un monde qui ne nous appartient qu’une seule nuit.

Le réveil fut dur et douloureux. Une fois mes yeux grands ouverts j’ai commencé à compter le nombre d’étoiles fluorescentes qui étaient collées au plafond. Il y en avait 24. Quelques unes avaient perdu leur brillance, sûrement à cause de l’âge. Pourtant on m’avait toujours dit que les étoiles ne mouraient pas, que leur lumière était éternelle. Avec le temps, j’ai fini par accepter que de nombreuses choses cessent de briller aussi fort et aussi intensément que la première fois. »

 

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