Gérard Le Goff présente son roman à paraître "ARGAM"

Publié le par christine brunet /aloys

Présentation du roman Argam par Gérard Le Goff

 

Argam. Curieux nom pour désigner un domaine plus étrange encore. La propriété d’une diva adulée : Martha de Hauteville. Elle brilla sur la scène des plus grands théâtres du monde, vécut un amour passionné et irréprochable, fut cruellement blessée dans sa chair comme dans son âme. Elle s’exila dans son manoir d’Argam, bâti sur un caillou perdu que ronge la mer. Elle mourut là, oubliée de tous ou presque. Son tombeau occupe un emplacement si discret dans le parc délaissé qu’on peine à le découvrir.

De toute façon, nul visiteur n’est admis en ce lieu. On se rend donc là dans la clandestinité. Comme ce dément évadé qui abandonna son manuscrit dans un carton d’emballage. Comme ces gens, si savants, si respectables, qui prennent des risques pour élucider l’énigme contenue dans le récit de cet aliéné.

Alors ? Une histoire de fou ? Une enquête ? Une légende avec apparitions garanties de spectres ? Un jeu ? Un peu de tout cela ?

A propos de jeu, on notera que les lettres de ce nom se retrouvent dans la célèbre comptine enfantine :

« Am, stram, gram,

« Pic et pic et colégram… »

Un peu facile, me direz-vous. Mais les mêmes lettres sont aussi insérées dans le mot : anagramme. Le courageux ou inconscient lecteur qui parviendra à la fin de ce récit le découvrira alors : Argam en est bien un. Mais trouvera-t-il, comme il se doit, toutes les réponses aux questions posées ?

 

 

Notice biographique.

 

Né en 1953, Gérard Le Goff a été successivement enseignant en lettres, cadre administratif de l’Education nationale et conseiller en formation continue.
A entrepris depuis son départ en retraite de se plonger dans ses archives, encombrées de manuscrits (sédiments d’avant la révolution informatique), de tapuscrits, de synopsis et de diverses autres élucubrations – plus ou moins inachevés. Un salutaire travail d’élagage (comme on le pratique avec un vieil arbre encore viable) lui a permis de finaliser des textes à peu près cohérents.
S’en est également suivie une reprise salutaire de l’activité d’écriture : de nouveaux romans, de nouvelles nouvelles et toujours de la poésie.
Travaille en parallèle la peinture et le dessin, accompagné par une artiste professionnelle, qui parvient à le supporter.
Les éditions Encres Vives-Michel Cosem ont publié six plaquettes de ses textes poétiques en 2018 et 2019.
Par ailleurs, les éditions Traversées ont retenu pour publication à l'automne 2019 son premier recueil :L’orée du monde.
A également publié quelques poèmes et textes courts en prose dans les revues : Haies Vives, Festival Permanent des Mots et Le Capital des Mots.
Une de ses nouvelles (Le jardin dérobé) est parue dans le numéro 90 (mars 2019) de la revue Traversées.
Son premier roman Argam va être publié prochainement par les éditions Chloé des Lys.

Publié dans présentations

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article