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l'invite d'aloys

Cathie Louvet nous présente son second tome « De Glace et de Feu : l'empire disloqué »

Publié le par christine brunet /aloys

 

SYNOPSIS TOME 2 : « De Glace et de Feu : l'empire disloqué ».

 

 

Les Vikings, habituellement dépeints comme des Barbares assoiffés de richesses n’ayant que peu d’égards pour les populations qu’ils dépouillent de leurs biens, n’ont ici pas moins de scrupules que les Francs et leur volonté d’étendre leur Empire, sous couvert de l’évangélisation des populations étrangères qu’ils parviennent à soumettre.

Le style, fluide et rythmé, a été retravaillé afin d'alléger certaines phrases un peu longues, offrant un texte bien écrit, à la syntaxe et à l'orthographe maîtrisées.

Le récit se structure autour de l'histoire réelle, mettant en scène des événements et des personnages historiques, et de l'histoire de personnages fictifs racontant des événements historiques, donnant de nombreux détails basés sur les documents et les recherches des historiens, notamment celles de Régis Boyer, sans pour autant alourdir le texte et ennuyer le lecteur.

L'originalité du sujet réside donc dans ces « chassés-croisés » entre le réel et le fictif dont le traitement est cohérent.

Points forts : récit bien rythmé, connaissances historiques maîtrisées, descriptions riches des situations et des paysages rendant le texte vivant, donnant l'impression d'y être, personnages attachants dont on a envie de connaître la suite des aventures.

 

Le second tome s'articule autour de trois axes :

  • Destinée de l'empire de 819 à 859, avec pour événements phares le remariage de Louis, la naissance de son fils Charles, les révoltes de ses fils aînés, les complots internes, les déchirements entre frères laissant le champ libre aux envahisseurs, et ouvrant la voie à l'avènement d'une nouvelle monarchie incarnée par les Capétiens.

 

  • Seconde phase des incursions vikings sur les territoires francs qui deviennent annuelles, profitant de la situation politique déplorable : ils trouvent l'embouchure de la Seine ; ils pénètrent bien plus avant dans les terres ; hivernages récurrents plutôt que de rentrer chez eux après chaque saison ; investissent les Shetlands, s'attaquent à l'île de Bretagne, colonisent l'Irlande et luttent contre la résistance celte ; alliances entre les différents chefs vikings qui leur permettent d'être partout, jusqu'à Paris.

 

  • Destinée des personnages ou familles fictifs dont on a suivi les aventures dans le premier tome, illustrant ce qu'était le quotidien de leurs existences, évoquant une partie de l'histoire du Danemark liée aux expéditions vikings, l'opposition paganisme/christianisme en montrant le très lent mais inexorable mouvement vers la christianisation qui sera effective près de 150 ans plus tard.
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Cathie Louvet nous propose un nouvel extrait de son roman historique "de glace et de feu"

Publié le par christine brunet /aloys

 

 

EXTRAIT DU CHAPITRE 7 :

Harald, captivé par les mouvements du barreur qui maniait avec une grande dextérité le styri, safran latéral, toujours placé à tribord de la coque, s’était glissé à la poupe. Près de lui, Anwind, le pilote, qui connaissait la route comme sa poche, indiquait les écueils à éviter, les passages à emprunter. Une brise légère faisait flotter les cheveux de l’enfant qui se tenait debout, bien campé sur ses deux jambes, regardant dans la même direction que le barreur. Le soleil était encore haut et faisait reluire la mer telle un plat d’étain. Sa main droite protégeant ses yeux des reflets aveuglants, il se retourna et scruta la côte danoise qui s’éloignait de plus en plus jusqu’à ne plus être qu’un petit point dans le lointain. Malgré l’ivresse de l’aventure qui le ravissait, il eut un pincement au cœur, se demandant s’il reverrait un jour sa patrie, la terre de ses ancêtres, là où son père reposait. Au bout d’un moment, il fixa à nouveau son regard devant lui, vers le nord-ouest, appréciant la limpidité du ciel.

La petite flotte avait atteint le large et s’ébrouait sans entrave. Elle dansait au milieu des vagues et des oiseaux marins. Harald sentit alors tout son être se pénétrer de cet intense sentiment de liberté que procurent les voyages en mer. Ce jour-là, tout comme Eryndr, il comprit que cette attirance était bien plus forte, plus puissante que tout amour humaine, il le comprit et pardonna. Il sut que son destin se trouvait là, sur un navire, chevauchant les mers en une quête éternelle dans l’espoir d’assouvir cette soif d’absolu, cette recherche de son être intérieur, solidement ancrée au fond de ses entrailles.bateau viking 2

En fin d’après-midi, le vent se leva. Les vagues se creusèrent. Les passagers prirent leur repas puis s’installèrent pour la nuit. Les membres de l’équipage mangeraient plus tard dans la soirée, en fonction des occupations de chacun. A la tombée de la nuit, Brikarnef répartit les tours de garde. Il resta attentif à la marche de la flottille car le vent fraîchissait toujours et la vitesse des navires était à son maximum, compte tenu de leur charge. Les rudes toiles renforcées de lanières de peau faisaient grincer les écoutes de cuir tressé sous la pression du vent. Les rameurs se reposaient. Certains mangeaient, d’autres jouaient aux dés. Harald regardait le mât qui, bien calé dans son évidement, semblait d’une solidité à toute épreuve. Les autres membres de l’équipage prirent leur poste pour la nuit.

Le capitaine donna l’ordre de fixer les tentes, toiles de laine grossière renforcées de cuir et doublées de bure afin que les passagers puissent dormir, chaudement enveloppés dans des couvertures en peau de renne . Les tentes étaient de la même fabrication que la voile et pouvaient, le cas échéant, la remplacer. Les hommes la tendirent au milieu du navire sur son armature en bois constituée de deux paires de montants dont les extrémités se croisaient et s’ornaient en leur sommet de têtes d’animaux sculptées. Elle lui donnait une forme de toit évasé qu’on arrimait solidement aux couples et aux taquets. Son sommet ne dépassait guère la hauteur des boucliers au-dessus des platsbords, afin qu’elle ne gênât ni la navigation, ni la vision du pilote et ne donnât pas prise au vent .A l’arrière et sur la droite du knorr, il pouvait aisément voir l’horizon et toujours distinguer le cou du dragon dont la tête ricanante, artistement sculptée elle aussi, se dressait haute et fière au-dessus des flots, dominant à la fois le navire et l’océan. Sous la toile, il fallait se courber et on y restait assis ou couché, mais avec un peu skye 5d’ingéniosité, Frida en fit un lieu de repos confortable. On alluma des feux et on resserra la surveillance, doublant les hommes de proue et les flancs-gardes. Les barreurs des cinq knorrs observèrent alors les sévères consignes de pleine mer : garder le cap, les distances et le contact avec le bateau de devant comme avec celui de derrière. Brikarnef fit réduire la voile pour la nuit. La flottille aborda les Orcades au matin. Le capitaine y avait prévu une courte escale pour écouler une partie de sa marchandise. Grâce aux hauts fonds qui entouraient l’archipel, les navires purent jeter l’ancre dans une baie abritée où poussaient quantité d’algues géantes, près de la côte de l’île la plus méridionale, à l’entrée du détroit de Pentland, au large de la côte écossaise. Pas d’arbres en ces lieux sans cesse battus par les vents. Sur les collines verdoyantes, on apercevait seulement des moutons blancs, disséminés çà et là, paissant en toute liberté. Une clarté particulière, reflétée par l’océan, donnait au paysage habituellement austère une agréable douceur. La brise marine faisait frissonner les bruyères.

Publié dans l'invité d'Aloys, extraits

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Maryline Marnas a lu et chroniqué pour le blog "les lectures de Maryline" Non Nobis Domine, le 3e thriller de Christine Brunet

Publié le par christine brunet /aloys

http://leslecturesdemaryline.eklablog.com/non-nobis-domine-a155370080

http://leslecturesdemaryline.eklablog.com/non-nobis-domine-a155370080

 

 

Résumé de l'éditeur :

Un jeu en marge des règles, une fausse donne qui mènera les protagonistes à une fin programmée. Un jeu banal qui tourne au cauchemar, une course poursuite effrénée entre Auvergne et Cantal, les moyens scientifiques du XXIe siècle au service dune légende... Le trésor des Templiers est-il, enfin, à portée de main ? La piste est brûlante, les appétits se déchaînent. Un thriller qui pousse les héros dans leurs retranchements et dévoile les travers peu reluisants de l’âme humaine.

 

 

Mon avis :

Je retrouve ici avec grand plaisir Axelle, l'héroïne dans "Nid de vipères" et "Dégâts collatéraux", ainsi que son acolyte Sheridan. Celui-ci est remonté dans mon estime, je l'ai trouvé vraiment parfait dans cet opus. Quant à Axelle, elle est égale à elle-même, sûre d'elle, un peu arrogante, un peu trop parfaite pour moi... Il lui arrive toujours des choses incroyables alors qu'elle a un fils et qu'elle ne se pose pas de questions sur sa vie. Elle fonce tête baissée dès qu'il y a de l'action. Alors, c'est un avantage pour son boulot car elle réussit du coup à éclaircir des enquêtes et mener son équipe au bout pour un résultat positif, mais elle se met sans cesse en danger en oubliant parfois qu'elle a une famille. Bref, je ne l'aime pas beaucoup.
 

Concernant l'histoire, encore un grand bravo à l'auteur! Ce thriller est vraiment génial et je l'ai terminé en une journée tellement j'étais plongée dans l'action! Ça bouge sans arrêt, il y a du suspense à chaque page, on ne se doute de rien, on comprend au fur et à mesure des lignes et des pages qui défilent à une allure folle! Les chapitres ne sont pas trop longs ce qui nous permet de souffler de temps en temps pour nous remettre de nos émotions.

Axelle et Sean forment un très bon duo d'enquêteurs, ils sont complémentaires et se comprennent parfaitement, même sans se parler. Alors bon, c'est le cas du côté professionnel mais côté vie privée, ces deux-là se cherchent et se retrouvent sans cesse, un vrai feuilleton hollywoodien! Mais on sent bien qu'ils sont faits l'un pour l'autre!

Le titre a été long à se faire comprendre mais j'ai adoré suivre cette chasse au trésor plutôt sanglante. L'auteur s'est bien documentée, on dirait qu'elle est de la région et qu'elle connait par cœur les faits et légendes de ce côté de la France : l'Auvergne. Un peu d'histoire ne fait pas de mal! Quand on dit qu'on voyage lors de nos lectures, alors là, c'est le cas pour moi, ne connaissant pas du tout ce coin.

Un thriller bourré de rebondissements, de course-poursuites, de morts, de blessés... Bref, tout ce que j'aime! Du suspense du début à la fin! Une auteur à absolument découvrir, tant pour son écriture que pour sa gentillesse et son sourire!

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Drôle de préparatifs de Noël pour les Carôttins de François Beukels

Publié le par christine brunet /aloys

Drôle de préparatifs de Noël pour les Carôttins de François Beukels
Drôle de préparatifs de Noël pour les Carôttins de François Beukels
Drôle de préparatifs de Noël pour les Carôttins de François Beukels
Drôle de préparatifs de Noël pour les Carôttins de François Beukels

Publié dans l'invité d'Aloys

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La préparation de Noël... Un dessin de François Beukels avec ses Carôttins

Publié le par christine brunet /aloys

La préparation de Noël... Un dessin de François Beukels avec ses Carôttins
La préparation de Noël... Un dessin de François Beukels avec ses Carôttins

Publié dans l'invité d'Aloys

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Une découverte en partenariat avec les Editions Hatanna : Secrets Barbares...

Publié le par christine brunet /aloys

Une découverte en partenariat avec les Editions Hatanna : Secrets Barbares...

Hatanna a fait des siennes ! Parcourant mers et océans, elle s’est arrêtée en Méditerranée pour y trouver une nouvelle perle qu’elle vous dévoile dans sa collection « Racines ».

Secrets barbares est une œuvre singulière qui prend naissance dans l’esprit d’Isabella Viviani, psychanalyste. Il se construit autour du personnage principal, Béatrice, future maman, qui part se promener en bord de mer pour la journée. Elle va alors rencontrer diverses personnalités qui seront développées dans de petits apartés. On peut ainsi découvrir la particularité des reines déchues, de l’homme papillon, ou encore de l’homme brioche. L’auteure n’a pas peur des mots et met très clairement un grand coup de pied dans certains tabous.

L’histoire évolue et permet au lecteur de se faufiler entre les lignes. S’il est curieux, il comprendra rapidement le message qui se profile à l’horizon. Cette œuvre poignante ne vagabonde pas simplement entre les êtres afin de nous les exposer, elle se penche sur une problématique actuelle bien profonde, la maltraitance. Les non-dits d’une barbarie dirait-on qui ne cesse de décimer des esprits en les plongeant dans d’obscures ténèbres. Ce roman tisse en fond de toile le fil rouge d’une violence faite par une mère sur ses filles. Une violence sourde, indicible et incestueuse. Une violence qui tue.

En guère plus d’une centaine de pages, ce roman poignant vous entraînera dans sa course folle engagée contre les secrets barbares.

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Christine Brunet a lu "les pavés de St Fiacre" de Robert Fontaine

Publié le par christine brunet /aloys

 

Nous connaissons Robert Fontaine pour ses trois précédents romans publiés chez CDL : "La Chaumette", "Après Stéphane" et "La croix mystérieuse".

J'avais beaucoup aimé ce dernier polar, roman lu au moment de sa publication : une enquête bien ficelée avec, comme "point final", un drôle de mystère entourant les meurtres de deux flics retrouvés étendus côte à côte face à la chapelle de St-Fiacre. Les agresseurs auraient eu des masques de Mickey. Qui les a tués, pourquoi... Nous en étions restés là avec le lieutenant Noël Ménéval.

J'avais hâte de savoir... 

Nous retrouvons le policier peu après ; écarté de l'enquête, il décide de s'éloigner, d'intégrer une nouvelle équipe mais... 

Robert Fontaine signe une suite agréable à lire dans laquelle la psychologie des personnages joue un rôle important dans le déroulement de l'histoire : les héros sont normaux, humains, têtus ou mous, téméraires ou prudents... 

Ménéval est parfait dans le rôle du gus qui ne lâche rien, qui n'oublie rien et qui bouscule tout en finesse les protagonistes pour parvenir à ses fins. 

Très dialogué, le roman se lit vite. Et vous savez quoi ? Je prends le pari que jamais vous ne trouverez l'identité de l'étonnant coupable ! Allez, je vous laisse chercher !

 

Christine Brunet

www.christine-brunet.com

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Thierry-Marie Delaunois aux Editions Lamiroy avec son opuscule "Syncope"

Publié le par christine brunet /aloys

 

Les Ardennes, une villa un peu isolée, un grand jardin, une forêt lugubre, des dangers que l’on ne peut imaginer pour une petite famille… Fanny, seule et divorcée, laisse tranquillement jouer ses jumelles de huit ans dans le jardin, Mélanie l’intrépide et Stéphanie la sage. Soudain, le silence; intriguée, Fanny sort vérifier ce qu’elles font mais elles ont disparu! Elle appelle, le silence lui répond. Ont-elle été kidnappées?

Auteur de neuf publications, chroniqueur littéraire et événementiel, membre de l’Association des Ecrivains Belges de langue française, Thierry-Marie Delaunois vous offre ici un mini-suspense psychologique et policier, véritable condensé de questionnement, de troubles et d’incertitudes, sueur et panique garanties! Ses thèmes favoris, qu’il aime développer? La complexité des rapports et de la pensée souvent tortueuse, qui nous conduit parfois au pire… A tort ou à raison?

 

Publié dans l'invité d'Aloys

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Christine Brunet a lu "Identités" de Régine Laprade

Publié le par christine brunet /aloys

 

 

Ce n'est pas, en général, le genre de livre que j'aime lire : terroir, témoignages biographies... pas ma tasse de thé... mais la plume de Régine Laprade a ce côté magique capable de tout : vous voyez, ce type d'écriture simple qui fait dire tout en chacun "moi aussi, je peux écrire...". Que nenni !

Je vous ai fait découvrir cet auteur avec "Le collier d'ambre", publié en son temps aux Ed. du Pierregord (coup de cœur) puis au fils de ses publications désormais aux Monédières. 

Cette fois, elle nous propose un voyage dans le temps : elle nous transporte au Maroc au moment de la seconde guerre mondiale jusqu'à la fin des années cinquante. Elle nous fait vivre cette période agitée de l'intérieur grâce au témoignage de trois personnages : M'Bark (un Goumier marocain dans le régiment Rhin/Danube), Pierre (un Français de France comme on disait à l'époque) engagé dans les Spahis marocains et Ennemond, un Zouave limousin qui participa à la libération de la Corse. Il y a aussi les souvenirs d'enfances au Maroc, l'ambiance de cette époque trouble, les histoires racontées par son père, un Français dans un régiment marocain.

Régine Laprade nous interpelle sur la place des "indigènes" dans la guerre et dans notre armée, leur héroïsme, leur engagement, leurs motivations. Mais elle va plus loin et relie ces destins à ceux de ces jeunes de banlieues, désœuvrés, sans racine, sans reconnaissance mais en quête d'une identité. 

Ces quatre histoires se mêlent pour nous dépeindre une réalité trop souvent galvaudée, gommée voire oubliée parce qu'elle ne plaide pas en faveur de notre pays.

Avec finesse, enthousiasme, émotion, nous écoutons ces quatre histoires de vie passionnantes... d'autant plus fascinantes que mon père (comme tant d'autres de sa génération) a fait partie intégrante du tableau durant son service militaire au début des années 50 : sergent chef d'un bataillon de tirailleurs sénégalais basé à Casablanca, il me racontait le courage incroyable de ces hommes qui, souvent, marchaient le ventre vide dans les caillasses de l'Atlas sans chaussures, s'y déchiraient les pieds et se les recousaient à vif avant de repartir, sans jamais se plaindre. Il me parlait des vols de bestiaux pour se nourrir, des clans tribaux au sein du bataillon...

"Identités" est un livre à découvrir et je suis prête à parier que la postface en fera réfléchir plus d'un !

 

L'auteur poursuit sa démarche avec un nouvel ouvrage "Le métis de Cao Bang"... L'Indochine... 

 

 

Christine Brunet

www.christine-brunet.com

 

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"L'âme soeur" d'Agnès Karinthi : une lecture de Christine Brunet

Publié le par christine brunet /aloys

 

 

SE TAIRE... malgré les conséquences.

Deux familles, un lourd secret.

Un va-et-vient entre passé, que certains cherchent à oublier, ont oublié ou... ont perverti, et présent.

Deux enfants qui se sont jurés le mariage à 8 ans... qui se retrouvent, aiment, souffrent sans comprendre.

Agnès Karinthi signe là un roman psychologique noir, superbement écrit où la violence s'allie au destin pour détruire les protagonistes d'hier et d'aujourd'hui.

Univers glauque où le bonheur n'a pas sa place, où les rares moments de tendresse ne parviennent pas à effacer le secret enfoui. 

Le lecteur plonge avec délectation dans l'intimité des héros puis lentement, sans vraiment s'en apercevoir, s'englue dans une fatalité plus forte, plus noire page après page jusqu'au final, terrible, incontournable mais libérateur. 

Impossible à mon sens de parler de l'intrigue, du fil conducteur de cette histoire, sans vous en déflorer les rouages. Je vous invite seulement à oser l'immersion aux côtés de Philippe, Claire, Anne, Stéphane et les autres.

Promis, vous n'en sortirez pas indemnes ! 

Nouveau coup de coeur !

 

Christine Brunet

www.christine-brunet.com

 

Qui est Agnès Karinthi... en quelques mots

 

Agnès Karinthi est née en France en 1969 mais son berceau familial est la Hongrie, Budapest précisément, où son grand-père et son arrière-grand-père sont de célèbres écrivains.


D’un caractère profondément rationnel, bien qu’attirée par la littérature dès son plus jeune âge, elle a développé une prédilection pour la chimie : elle s’est consacrée à des études scientifiques et une carrière industrielle. 

Aujourd’hui, elle accompagne les entreprises à la prévention des risques professionnels.


Pourtant, durant toutes ces années, elle continuait à dévorer livre sur livre.

Et un beau jour, elle a pris la plume à son tour.


Pour suivre les actualités de l’auteure, retrouvez-la sur son site internet :

http://akarinthi.com/


 

Bibliographie :

2017 Quatorze appartements, L’Astre Bleu Éditions, collection Hélium

2018 : L’âme sœur, L’Astre Bleu Éditions, collection Hélium

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