Carine-Laure Desguin en invitée de notre blog pour "Digue du cuesme, 82" : une chronique de Christine Brunet

Publié le par christine brunet /aloys

 

Carine-Laure Desguin… Aucun de ses écrits ne laisse indifférent, sans doute parce qu’elle manipule les mots avec un brio déroutant.

Ce petit recueil de 23 textes poétiques est un concentré de tous les superlatifs : il prend aux tripes peut-être parce qu’il est très personnel. Aucune ponctuation (inutile), il est pourtant rythmé par les syllabes qui percutent chaque vers, bousculent ce qui pourrait être une lettre mémoire, une lettre d’adieu, une lettre regrets. Chaque mot va à l’essentiel et parvient à chambouler le lecteur surpris malgré l’introduction d’Eric Allard qui donne le ton avec justesse.

 

Je ne vais pas m’étaler mais vous voulez un conseil ? Lisez ces 23 textes… et laissez-vous alpaguer par leur chant singulier !

 

Une publication du bimestriel Les chants de Jane n°34

 

Christine Brunet

 

Publié dans l'invité d'Aloys

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M
La chronique de Christine est très juste. L'écriture de Carine-Laure est brillante et ne ressemble à aucune autre.
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C
Merci Micheline!
E
J'ai beaucoup aimé cet hommage de mots qui cognent à un cousin pas indifférent non plus. Vraiment, Carine-Laure arrive à nous faire aimer ce petit bonhomme-farfadet que pourtant nous ne connaitrons pas mais qu'elle nous présente le temps d'un long texte déchirant et superbement écrit.
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C
Merci à toi, je ne regrette pas d'avoir écrit ces quelques textes qui sont une façon de ne pas oublier cette petite âme et son passage sur cette terre.
P
Sûr que ses écrits ne laissent pas indifférent... ! ! !
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C
La littérature, c'est aussi bousculer, création création. Bel aprèm, Philippe!