Brune Sapin nous propose un poème
Et quand bien même ne resterait que la tempête
Quand bien même devant un autel aux cierges en candélabres
Quand bien même un nouveau renouveau
On peut toujours
Toujours plus fort
Le temps du printemps
Chaque jour passant
Comme se soufflent les pissenlits
Les fleurs chantent et les oiseaux ne sont pas craintifs
Que revienne plus paisiblement
La symphonie des doux instants
Célébrée par la pureté d'un sourire d'enfant.