Marcelle Pâques a lu "Par la fenêtre" d'Alain Delestienne
Un récit qui me captiva dès les premières pages -
- Dans le cadre de la fenêtre, il ne voyait que le ciel. C’était mieux que rien, mais le ciel était souvent gris.-
J’ai lu quelque part que la force d’un roman ce sont des personnages qui nous ressemblent, des questions qui sont les nôtres.
Nos faiblesses, nos rêves, nos incertitudes ...
Je me suis retrouvée dans ce récit où la contemplation de la nature joue un rôle très important !
Page 3 – Ce minuscule arbrisseau allait changer les matins de ce solitaire devant sa fenêtre.
Page 6 – Le peuple des oiseaux avait pris ses quartiers d’hiver devant la fenêtre d’Henri ...
Henri rêve d’une république des arbres, mais une république vraiment “ arbocratique’'.
Comme ces oiseaux qui voltigent autour de lui le bonheur est là tout près mais il s’interroge ...
Page 39 – Il est midi. Henri est dans sa cuisine, la porte est ouverte. Ses chiens dorment paisiblement, sauf le petit dernier
qui discute à voix basse avec le chat de la voisine. L’herbe bien verte de la pelouse brille sous le soleil revenu.
L’air est très doux, la route s’est calmée pour un temps, la radio lui offre une demi-heure de belle musique.
Est-ce cela, se sentir bien?
Et puis il y a les vacances à la mer avec ses filles, pour lui, le mouvement de la mer possède cette qualité précieuse de
réveiller sa tête et son coeur ...
Et lors de ces vacances une découverte qui va colorer sa vie. Prémisse d’une belle histoire ...
C’est donc à regret que nous quittons ce doux rêveur en refermant les pages du livre ...
Marcelle Pâques
marcellepaques.skynetblogs.be