Céleste Savigny présente son ouvrage "Vingt-quatre étoiles"

Publié le par christine brunet /aloys

Biographie

Née le 28 mai 2000, Céleste Savigny se lance dans l’écriture à l’âge de dix ans en imaginant quelques poèmes, au fur et à mesure quelques petits textes. Et c’est quelques années plus tard que cela deviendra une réelle passion. Entre les livres et la plume, elle poursuit un parcours scolaire en latin-grec durant ses années de secondaire.

Sportive également, elle pratique depuis ses huit ans de la natation synchronisée.

A l’âge de 15 ans, elle écrit un recueil de textes intitulé « Au cœur des mots de l’océan » qui sera publié un an plus tard, aux Editions du Panthéon.

Peu après, elle se retrouve hospitalisée pour une dépression, et c’est au cours de cette dure épreuve qu’elle se met à écrire son roman « Vingt-quatre étoiles » qui sera publié aux Editions Chloé des Lys quatre ans plus tard.

En septembre 2018, elle fait son entrée à l’Université Libre de Bruxelles pour poursuivre un cursus en langues et lettres françaises et romanes.

 

Résumé :

 

A l’âge de huit ans, un soir de novembre, Elia connaît un tragique accident de voiture avec sa mère. En un fragment de seconde, c’est une étoile de plus qui apparut dans le ciel.

 

Et au réveil, elle n’entendait plus.

 

Dès lors, elle apprit à vivre dans un monde où seul le bruit de ses pensées venait rompre le silence.

 

Sa vie, redevenue monotone, se voit alors perturbée peu avant les vacances de février lorsqu’elle découvre des lettres laissées par sa mère. Celles-ci deviennent alors une énigme qu’elle se donne à résoudre et c’est en creusant dans les mensonges et les souvenirs qu’elle va réaliser qu’on ne sait jamais qui l’on est réellement.

 

Extrait :

 

« Je n’aime pas les rêves vous savez, cette réalité controversée qui se réduit à néant lorsque la lumière du matin vous éveille, je n’avais jamais aimé ça. J’ai toujours trouvé ça cruel de nous offrir un monde qui ne nous appartient qu’une seule nuit.

Le réveil fut dur et douloureux. Une fois mes yeux grands ouverts j’ai commencé à compter le nombre d’étoiles fluorescentes qui étaient collées au plafond. Il y en avait 24. Quelques unes avaient perdu leur brillance, sûrement à cause de l’âge. Pourtant on m’avait toujours dit que les étoiles ne mouraient pas, que leur lumière était éternelle. Avec le temps, j’ai fini par accepter que de nombreuses choses cessent de briller aussi fort et aussi intensément que la première fois. »

 

Publié dans présentations

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P
Belle couverture. Résumé attirant...
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M
L'écriture me plaît.
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E
Le thème me séduit, je dois dire...
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