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Un article pour Laurent Dumortier et son recueil VERTIGES dans l'Avenir.net

Publié le par christine brunet /aloys

Dans votre commune
  • Mise à jour : vendredi 21 décembre 2012 07h00

BARRY

Tant de carrefours improbables
  • Source: lavenir
  • Françoise LISON
Un septième recueil de poésie pour Laurent Dumortier.

 

Un septième recueil de poésie pour Laurent Dumortier.

 

TOURNAI - Le recueil de Laurent Dumortier dynamite des souvenirs, avec une lancinante et noire mélancolie. «Vertiges» et signes des temps.

D’un jardin verdoyant au plus gris du pavé, la poésie de Laurent Dumortier erre entre les ombres et les fièvres. «Mes pensées nucléaires s’explosent en congères»,affirme celui qui cherche la clé des abîmes.

« Tourne le sablier »

Ce septième recueil de poésie tutoie les résonances des mots et songes souterrains. Terreurs, écorchures, ravins, marécages? La parole épouse les lignes du crépuscule, à l’heure où rôde toute morsure.«Ici, la musicalité est beaucoup plus présente», confie l’auteur de Vertiges.

Les rimes et échos épaulent chaque texte, cherchant des échos singuliers. La ponctuation, elle aussi, ricoche entre les silences. Parfois le verbe s’arme de limpidité : «Mais l’appel d’un cri dans la nuit/Vaut bien que l’on fasse demi-tour…».Parfois les mots s’échappent de leur prison, comme autant de vaillants soldats :«L’angoisse de la quiescence», «Mes phases cyclothymiques», «L’abscisse se désordonne», «L’effusion alizarine»…

Rien n’est simple dans ce dédale langagier en proie aux griffes d’un cauchemar. Et cependant, court, au fil des pages, un sentier que guide un laser. Celui-ci se fait ludique («Carpe diem»), tendre («La Muse-Lierre»), cynique («Et si»), dérangeant l’obscurité et ses revers. Interrogé à propos de son travail poétique, Laurent Dumortier confie que l’introspection le tenaille. «Il y a une part d’autodestruction évoquée. Perdue parmi les regrets, le désespoir, la volonté de dépasser le néant est vouée à l’échec.»

«Delphes ne m’a pas donné la réponse/Que j’attendais, j’ai oublié les étoiles glacées/Et les lacs enflammés…» D’autres lieux («Quai des Salines»), d’autres temps («Minuit moins une»), d’autres itinéraires («Barry-Paris») et chiffres(«Zéro positif à l’infini») se chargent d’emmener le lecteur à sa perte, à son point de non-retour. Jusqu’à l’autre versant. «Quand je parle à tu je dis vous/Et je me remémore des pensées cristallines/Qui s’ouvrent sur un peut-être pas encore clos…»

« Vertiges » éditions Chloé des Lys, 069 84 74 94

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Un article pour Les états de la lune et du soleil,de Philippe Wolfenberg

Publié le par christine brunet /aloys

VAC-WOLFENBERG

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Sylvain MIURA et son "Dernier hôtel" dans l'Avenir.net

Publié le par christine brunet /aloys

Des polars à la une et à la pelle
  • Source: lavenir
  • Françoise LISON
Peintre, sculpteur et écrivain, Sylva Miura expose également des artistes chez lui, à Erbisoeul.

 

Peintre, sculpteur et écrivain, Sylva Miura expose également des artistes chez lui, à Erbisoeul.

 

TOURNAI - Son nom d’auteur, c’est Sylva Miura. Originaire de Frasnes, Dominique Dumont écrit des romans policiers. Rendez-vous ce vendredi soir.

 

La bibliothèque communale de Frasnes-lez-Anvaing fait la fête à la littérature en invitant des auteurs liés au Pays des Collines. Parmi eux, Sylva Miura publie, aux éditions Chloé des Lys, le premier polar d’une série qui devrait en compter six.

« Dernier hôtel »

On connaissait Dominique Dumont, coauteur du roman policier «Mauvais gré ».Deux pseudonymes, Barr et Tolet, cachaient alors les identités d’écrivains à la plume habile. La mort violente d’un notable était au cœur d’une intrigue bien ficelée, ancrée dans la région.

Cette fois, c’est à Aix-en-Provence que le Frasnois situe l’action d’une mystérieuse affaire. «Bien loin d’ici, pour que l’on ne puisse y retrouver des lieux connus», confie l’auteur, aujourd’hui magistrat. Un jour il s’est promis d’écrire un texte qui révèle » comment je vais m’imaginer vieillir dans ce métier d’avocat ». Dix années ont passé après la rédaction des trente-cinq premières pages. Et soudain, celles-ci ont trouvé une suite, le temps d’une retraite en écriture.«Le vieil homme entre à l’hospice et assiste, impuissant, à un assassinat. J’ai voulu écrire une histoire réaliste sur le plan social et judiciaire, me démarquer de ce qui se lit dans les thrillers anglo-saxons. Ici il y a des gens de tous les horizons, de plus nantis que d’autres. Le roman est totalement imaginaire, mais il est vrai que dans mon parcours, je côtoie des faits et personnages qui font penser à ceux que je présente. Et j’ai lu énormément de dossiers. »

Ce qui pousse Dominique Dumont, alias Sylva Miura, à l’aventure du roman? «Comme avocat, je n’écrivais que des actes de procédure. Lors de la conférence du Jeune Barreau, j’avais décidé que mon texte mettrait en scène un vieil homme qui regarde sa carrière accomplie. Un enquêteur qui, comme Maigret, a commis des erreurs de jugement. Le commissaire Corte, personnage principal, fort en gueule et hâbleur, est plutôt du genre Colombo, en plus viril. Le lecteur perçoit des indices, les soupçons s’orientent vers une certaine personne. On se rend compte qu’il y a toute une machination derrière le crime… »

Puisqu’il dispose de peu de temps, l’auteur travaille avec méthode. «Il faut que je m’accorde quelques jours pour écrire. Je divise ma page en douze: le scénario de l’enquête se dessine. Je place les rebondissements et je lance l’enregistrement du texte avec reconnaissance vocale. Puis je relis, je corrige, je parcours l’ensemble avec un correcteur informatique. »

Soirée littérairece 14 juin à 19h30,Bibliothèque communale, rue de la Fauvette.Entrée libre.

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Des articles de journaux pour les auteurs Chloé des lys

Publié le par christine brunet /aloys

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La Compagnie Bohème en Gouaille présente Quenouille de Fouchtre ! Un spectacle « tragi-comédique » de masques

Publié le par christine brunet /aloys

Compagnie Bohême en Gouaille
Présente


 

 

=> et le 25 avril 2013 à 20 heures 

 

au Foyer Socioculturel d’Antoing 

(Rue du Burg, 23 7640 Antoing )


 

=> Le 31 mai à 20 heures au Centre Culturel du Pays des

 

Collines à Flobecq à la Maison de Village (Rue Abbé Pollart, 4

 

7880 Flobecq 

Quenouille de Fouchtre ! 

Un spectacle « tragi-comédique » de masques

 

 

« Le masque ne marche pas, il danse… Le masque ne parle pas, il chante… »

Venez déguster l’univers extraordinaire du masque qui, à travers ses tripes, son cœur et son regard, offre sa logique spontanée, sa nature enfantine, amorale et avant tout entière....

 

« Quenouille de fouchtre ! » est une farce cracra et joyeuse, truculente et sordide " à fois ". Bigre d’un petit cafard ! Vous y trouverez, en vrac et en gros, une Mémère Guenille, un Pépère Tapinois, une machine à dichotomie, une à fabriquer des bébés et surtout, un lot des plus formidables… Crâne de fenouil !

 

Cette pièce vous amusera tout en vous titillant sur certains comportements et certaines situations qui peuvent amener deux êtres à se faire manipuler et à s’aveugler complètement. Une création où spontanéité, dialogues de chair, moments délirants et chants sont au service de la sincérité qui transpire le surréalisme d’un spectacle brut et concret haut en couleurs.

 

A partir de 15 ans.

 

Texte : Bruno Charrier / Mise en scène : Catherine Raverdy / Avec Sophie Barbieux et Bruno Charrier / Technique du masque, naissance des personnages, regard extérieur : Diego Lopez Saez / Scénographie : Sophie Barbieux / Création masques : Lucia Picaro / Création lumière : Olivier Deleplanque  / Illustration affiche : Alexandre Khammanivong.

 

Avec le soutien du Foyer Socioculturel d’Antoing et de la ville d’Antoing, du Centre Culturel du pays des Collines, du CAR (Centre des Arts de la Rue d’Ath ), du Centre Culturel Bruegel.

La pièce est éditée chez Chloé des Lys.  



Contact :


Bruno Charrier

bohemeengouaille@gmail.com

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Carol Trottier, alias Karl Chaboum nous propose deux extravagances

Publié le par christine brunet /aloys

nouveaux aout

 

 

MP-9_fauteuil-roulant.jpg

 

 

 

Carol Trottier

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Un article sur le roman de Jacques de Paoli, "Après tout"

Publié le par aloys.over-blog.com

http://www.bandbsa.be/contes/depaoli.jpgJacques De Paoli et son roman « APRES TOUT… » 

publié sur le site http://www.espace-seniors.be/Espace-Seniors

  

Voilà ! Vous n’avez pas loin de 75 ans. Et vous vous mettez à écrire. Comment l’idée vous est-elle venue ?

La retraite laisse du temps au temps. J’ai toujours été sensible aux phrases bien faites. Il m’a semblé aussi ne pas être dépourvu d’imagination. Quand ma petite-fille me demande de lui raconter une histoire, j’en invente une, sur le champ. Alors, je me suis dit pourquoi ne pas les écrire. Comme un ébéniste se met à son établi, je me suis mis à mon bureau. L’informatique apprise dans mon entreprise juste avant ma pension m’a bien été utile. Mon inspiration pour les contes enfantins avait besoin de ma petite-fille. Sans elle la source était tarie. Je suis néanmoins resté devant mon ordinateur. D’autres créneaux m’ont tenté. Et voilà, le livre est là !

 

Quel raccourci ! C’est aussi simple que cela ?

Non, pas du tout. Au contraire.  J’ai peiné. J’ai sué. Un paragraphe terminé un jour est remplacé par un autre le lendemain. Le contentement de soi n’est pas ma religion. Il faut que mon écriture ait une certaine musique. Une phrase doit en appeler une autre. Nos yeux doivent glisser sur la page.  Je lisse mes écrits. L’ennui du lecteur est ma crainte. Le surprendre est mon credo.

 

Musique…Un style lissé… Et ça suffit pour faire un roman ?http://www.wmaker.net/encrenoire/photo/1282193-1681385.jpg

Il faut encore avoir des choses à dire ! La forme est d’importance. Le fonds ne l’est pas moins. Et il convient d’avoir du souffle aussi. Les personnages m’aident. Parfois, ils m’échappent. Je me laisse guider par eux. Le lendemain, je revois ce qu’ils m’ont fait écrire. C’est un jeu entre eux et moi. J’adore ça. Il n’empêche. Mon roman ne s’est pas écrit en trois coups de cuillère à pot. Le nombre de mois que j’y ai consacré n’est pas précis. On ne compte pas. On travaille pour soi.

 

Quand avez-vous estimé que votre roman était fini ?

Grande question ! Quand mes personnages n’ont plus rien eu à dire. Je m’en suis rendu compte : personne ne me parlait. Ni le héros ni l’héroïne ne m’adressaient la parole. Ils n’avaient plus soif d’aventure. Alors ce soir-là,  au souper, j’ai annoncé à mon épouse la fin du roman. Elle s’est empressée de le lire. Son aide a été appréciable. Une bonne relecture est essentielle pour « produire » un bon écrit.

 

Et ensuite ?

Il reste à trouver un éditeur. J’ai sollicité plusieurs maisons d’édition. Au bout d’un moment, Chloé des Lys de et à Barry (Tournai) a accepté de prendre le risque financier de faire de moi un auteur qui a « pignon sur rue ».

 

 

 

Le titre du roman est « APRES TOUT…». C’est un roman d’idées derrière un Kyoto des relations amoureuses. L’érotisme en est l’épine dorsale.

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