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Des nouvelles de Carine-Laure Desguin et sa participation à Grabuge

Publié le par christine brunet /aloys

 

 

Déjà ce mot, GRABUGE. 

 

Et puis ce blog, Littérature Portes Ouvertes :

https://litteratureportesouvertes.wordpress.com/ 

 

 

Blog lancé et alimenté par Gabriel Grossi :

https://litteratureportesouvertes.wordpress.com/qui-suis-je/

 

Alors quand ce passionné de littérature a proposé de participer à une anthologie poétique numérique dont le thème était GRABUGE, j’ai de suite écrit sur un set d’une trattoria tout ce que ce mot, GRABUGE, me soufflait, une espèce de chaos organique… 

 

Nous sommes trente-huit auteurs qui tournicotons entre les lignes de cette anthologie. 

 

Voici mon GRABUGE :

https://litteratureportesouvertes.wordpress.com/2023/07/16/grabuge-anthologie-numerique/#14-carine-laure-desguin 

 

L’ANTHOLOGIE POETIQUE NUMERIQUE :

https://litteratureportesouvertes.wordpress.com/2023/07/16/grabuge-anthologie-numerique/ 

 

RÉSONANCES/4, c’est le dernier ouvrage collectif auquel j’ai participé, et ceci aux Éditions Jacques Flament. 

 

Un très bel opus de 156 pages A4, 75 photos, 75 textes. 

Pour le livre, c'est ici :
https://www.jacquesflamenteditions.com/547-resonances-4/   

 

Un tout grand merci à Jacques Flament. Soutenons les petits éditeurs. 

 

Notes de lecture de mon dernier recueil DIGUE DE CUESME, QUATRE-VINGT-DEUX :

http://carineldesguin.canalblog.com/pages/digue-de-cuesme--quatre-vingt-deux--poesies--grenier-jane-tony--chant-de-jane-n-34--2022/39861907.html 

 

Lien vers tous mes livres :

http://carineldesguin.canalblog.com/pages/mes-livres/39852592.html 


Lien vers mes poèmes de la Nouvelle Revue des Elytres (Grenier Jane Tony)

http://www.grenierjanetony.be/?s=Carine-Laure+Desguin

 

Publié dans Article presse

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"Temps zéro" de Laurent Dumortier référencé dans "Le Printemps des Poètes"

Publié le par christine brunet /aloys

"Temps zéro" de Laurent Dumortier référencé dans "Le Printemps des Poètes"

Publié dans Article presse

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Bruxelles City News parle de l'ouvrage de Bernard Depelchin "Pourvu qu'il pleuve"

Publié le par christine brunet /aloys

POURVU QU’IL PLEUVE de Bernard Depelchin
 

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POURVU QU’IL PLEUVE de Bernard Depelchin

Ludovic est assis sur un banc public. Pause-déjeuner après une pénible matinée au bureau.

Engourdi par les rayons d’un soleil radieux, il plonge dans son passé. Soudain, venu de nulle part, le souvenir d’Anna, son amour d’enfance. Qu’est-elle devenue ? Trente-cinq ans qu’il ne l’a plus vue. Troublé par cette fulgurance, il la recherche sur Internet et tombe sur une photo de son visage. Un visage qui le bouleverse profondément et ne le quittera plus.

Une seule photo aura suffi à bousculer le quotidien lassant de Ludovic. Son obsession pour Anna ne faiblit pas, lui colle à la peau et déclenche en lui un profond séisme. Une remise en question de toute sa vie. La raison s’éloigne petit à petit et une idée folle agite son esprit : partir à la conquête d’Anna. Mais après tant d’années écoulées, que lui reste-t-il à offrir ?

Editions : Chloé des Lys

Publié dans Article presse

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Bruxelles City News parle du roadmovie de Coraline Buchet "Une petite Belge en Aptearoa Nouvelle-Zélande"

Publié le par christine brunet /aloys

 

Une petite belge en Aotearoa Nouvelle-Zélande

Après son périple à rebondissements en Australie, Coraline choisit une destination pour elle. Aotearoa Nouvelle-Zélande, un pays où reprendre plaisir à randonner, où retrouver les montagnes, où s’épanouir en solo. Jusqu’au jour où sa patronne lui donne le numéro de téléphone qui va changer sa vie. À ses côtés, foulez la terre au long nuage blanc dans un récit poignant d’émotions et d’aventures. Découvrez comment lâcher prise. Apprenez comment repousser les limite et faire de l’infini une possibilité…

Déterminée, éclectique et l’esprit fourmillant d’idées, Coraline réalise ses rêves l’un après l’autre. Après une vie désorientée en Belgique et 5 ans de voyage, elle se passionne à présent dans une vie proche de la terre et riche d’expériences ene Aotearoa Nouvelle-Zélande.

 

 

https://bruxelles-city-news.be/une-petite-belge-en-aotearoa-nouvelle-zelande/

Publié dans Article presse

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Un article dans l'Avenir pour le premier roman de Luc Degrande

Publié le par christine brunet /aloys

Un article dans l'Avenir pour le premier roman de Luc Degrande
Un article dans l'Avenir pour le premier roman de Luc Degrande

Publié dans Article presse

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Un article d'ans l'Avenir.net pour le recueil de Michaël Zoïna

Publié le par christine brunet /aloys

 

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Un article pour Laurent Dumortier et son "Temps zéro"

Publié le par christine brunet /aloys

Un article pour Laurent Dumortier et son "Temps zéro"

Publié dans Article presse

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Un article d'Edouard Debelder paru dans Le Courrier pour Bernadette Gérard-Vroman et son recueil poétique "Sérénade à la vie"

Publié le par christine brunet /aloys

Un article d'Edouard Debelder paru dans Le Courrier  pour Bernadette Gérard-Vroman et son recueil poétique "Sérénade à la vie"

Publié dans Article presse

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Texte signé Carine-Laure Desguin paru dans la revue Aura 115 "L'étrange affaire Stan Xalla" pour le thème CORRESPONDANCES

Publié le par christine brunet /aloys

 

L’étrange affaire Stan Xalla

 

— Eh bien, Herbert, vous vous doutez de la raison pour laquelle je vous convoque ce matin ?

— Non patron, pas du tout.

— Vous vous foutez de moi ?

— Non patron, pas du tout.

— Si je vous parlais de vos notes de frais à la con, la mémoire vous reviendrait-elle ?

— Peut-être patron, ça dépend.

— Vos notes de frais pour l’année 2021 sont une aberration, Herbert, une aberration. Je ne comprends pas. Cinquante euros pour un resto dont j’ai oublié le nom à Charleroi, soixante euros pour un autre resto encore à Charleroi. Et j’en passe ! Des notes de frais pour des restos, des notes de frais pour ceci, des notes de frais pour cela. Vous avez largement dépassé le plafond autorisé. Vous me prenez pour un imbécile ? Comment voulez-vous que je justifie tout ça au boss hein ? Dites-moi ?

— Si je me souviens bien, c’était pour une filature, patron.

— Si je me souviens bien ? Je vous demande plus que ça ! Une filature ? Quoi, qui, comment, pourquoi, quand ? Où, ça on le sait !

— Vous m’avez envoyé un mail. Un dossier en pièce jointe. Le dossier XALLA. Vous me demandiez une filature pour ce type, Stan Xalla. Son emploi du temps, les lieux qu’il fréquentait, les gens qu’il voyait, etc.

— Et lorsque vous avez dépassé le budget pour une filature ordinaire, m’avertir de tout ce foutoir ne vous est pas passé par la tête ?

— Non patron.

— Et pourquoi donc ?

— Dès le départ, ce dossier m’a paru étrange, suspect. Une espèce d’électron libre qui flottait entre d’autres dossiers. Je ne pouvais le rattacher à rien.

— Continuez, ça m’intéresse.

— D’habitude, une filature, une enquête, cela demande une réunion d’équipe, des mises au point, des débriefings et ici, rien. Un simple mail de votre part. Comme si vous refusiez que cette filature ne fasse trop de  bruit. D’autant plus que ce Xalla n’a rien dans son casier judiciaire, rien. Alors, j’ai pensé à quelque chose de personnel, quelque chose qui vous toucherait de près, patron. Je pensais à votre épouse par exemple … J’ai filé ce type pendant des jours et des jours. Un pensionné tout ce qu’il y a de plus banal.

— Et pourquoi seulement des notes de frais déposées plic ploc sans aucun autre dossier ? Expliquez-vous, Herbert ?

— Tout est étrange dans cette affaire, patron. D’ailleurs, il n’y a pas d’affaire. Ce type est nickel. Pensionné. Un resto plusieurs fois par semaine, des potes normaux. Cette normalité est étrange, patron. Et puis vous qui me demandez cette filature par mail … Et à présent vous rouscaillez pour des notes de frais. Tout est étrange dans cette affaire qui n’en n’est pas une. Rien ne correspond à quelque chose. Et ce quelque chose n’existe pas. Il n’y a pas d’affaire Xalla, patron. Hormis ce mail que vous me confirmez m’avoir envoyé. Et puis ce type, ce Stan Xalla, je m’y suis comment dire … attaché, oui, c’est ça, attaché. Un pensionné qui avait une particularité.

— Ah, quand même !

— Stan Xalla, c’était un facteur.

— Et c’est particulier d’après vous, ça ?

— Oui parce que bien qu’étant pensionné depuis plusieurs années, il trinqueballait toujours avec lui un grand sac en cuir noir rempli de vieilles lettres, des courriers qui datent d’une dizaine d’années. Alors patron, si vous me disiez à présent ce qui vous intéressait vraiment chez ce Stan Xalla ?

— Stan Xalla avait été soupçonné d’être le corbeau dans une affaire de meurtre, voici une douzaine d’années. Des soupçons, sans plus.

— Et pourquoi m’envoyer filer ce type aujourd’hui, patron ?

— Aucune importance, Herbert. Vous l’avez dit voici quelques minutes, rien ne correspond à rien dans cette étrange affaire. Une bien étrange affaire qui n’en est pas une.

 

Carine-Laure Desguin

http://carineldesguin.canalblog.com

Publié dans Textes, Article presse

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Texte signé Carine-Laure Desguin paru dans la revue AURA 115 "De mal en pis" pour le thème LE CERCLE

Publié le par christine brunet /aloys

 

De mal en pis

 

 

   Vous me convoquez. Je réponds positivement malgré la montagne de boulot que je dois attaquer d’un moment à l’autre. J'attends dès lors depuis trente-cinq minutes dans une salle non chauffée qui ressemble à un cube vide. Un 24 novembre à dix-huit heures. Et à présent que je suis face à vous, monsieur ? monsieur ? monsieur le commissaire ? je ne connais pas plus la raison de ma convocation que votre nom ou votre grade. Vous pianotez sur votre ordinateur les infos que vous lisez sur ma carte d’identité via un autre ordinateur. Mon groupe sanguin, ça vous intéresserait de le connaître? Et mon ADN, ça vous dit ?

   Ne vous emballez pas. C’est compliqué.

   Compliqué ? Expliquez-moi alors.

   Votre carte d’identité.

   Je l’ai renouvelée à temps.

   Oui. La date est correcte.

   Vous vous moquez de moi !

   Pas vraiment, non. Steve Raf, vous connaissez ?

   Oui, c’est moi !

   Votre carte d’identité, une fois introduite dans le décodeur, signale que vous vous appelez Paul François.

    Ah ah ah, je suis écrivain. Steve Raf, c’est mon pseudonyme ! Parce que Paul François, c’est pas … vous comprenez.

    Non, je ne comprends pas, monsieur François.

    Steve Raf, ça donne une touche amerloque. J’écris des romans policiers, vous comprenez, alors les meurtres qui pullulent et le sang qui pisse, ça me connaît.

    Ça tombe à pic.

    Ah ?

    Vous ne comprenez toujours pas ?

    Arrêtez de tourner en rond et soyez direct. Du boulot m’attend, je ne suis pas un glandeur moi monsieur.

    C’est au sujet du meurtre. Dans cet appartement juste au-dessus du vôtre. Le meurtre de cette veuve, madame Crépillon.

    Tout ce que je sais je l’ai dit mille fois. J’étais absent à cette période-là. Je ne peux rien dire de plus. Je ne connaissais pas cette dame. Et puis, cette histoire est révolue, jetée aux oubliettes. Trois mois, ça fait bien trois mois que cette pauvre dame mange les pissenlits par la racine.

    Expliquez-moi alors comment un tapuscrit signé Paul François se trouvait dans le coffre de la victime. Dans le coffre d’une banque que je ne vous citerai pas.

    Vous plaisantez ?

    J’ai l’air de plaisanter ? Et puis, dites-moi, vous aussi vous tournez en rond. Vous dites ne pas connaître la victime. Un tapuscrit signé Paul François est découvert dans le coffre de cette victime. L’histoire, je l’ai lue. Elle mentionne le nom d’Yvonne Crépillon, justement. Yvonne Crépillon, assassinée lâchement. Par un hula-hoop tourné 314 fois autour de son cou. Et, vous ne l’ignorez pas, la victime a été étouffée de cette façon. Je continue ?

   Je ne comprends pas. Je n’ai pas écrit cette histoire. Je m’en souviendrais quand même !

   Soit. Demain matin, une perquisition aura lieu chez vous. J’attendais autre chose de vous lors de cet entretien. Pour un écrivain, vous manquez d’imagination, vraiment. Et vous ne me demandez même pas le titre de ce livre. C’est qu’alors, vous le connaissez, non, ce titre ?

   Non, je suis comment dire … éberlué d’apprendre tout ça. Le titre ? Quel est le titre de ce livre ?

   Sans doute un titre provisoire car non pas écrit sur une ligne droite mais écrit sur la circonférence imaginaire d’un cercle, écrit en rond quoi.

   Un cercle dites-vous ?

   Oui, étrange n’est-ce pas ?

   Mais quel est ce titre, putain, quel est ce titre ?

   Il faut tourner la tête pour lire ce titre, presque se la dévisser.

   Putain, quel est ce titre ?

   Trois virgule quatorze.

   Trois virgule quatorze ?

   Oui, Trois virgule quatorze.

   Je pensais à un autre titre, diamétralement opposé.

   Et vous semblez en connaître un rayon, malgré tout. Étrange tout ça.

 

Carine-Laure Desguin

http://carineldesguin.canalblog.com

Publié dans Article presse, Textes

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