Le blog "Les lectures de Maryline" a chroniqué "Bluff", le dernier roman de Bob Boutique. Un coup de coeur !
Résumé de l'éditeur :
«Bluff» est le troisième volet de la trilogie du «Bouledogue et de la Petite» dans laquelle on retrouve, dans une aventure totalement différente, Johan et Lieve, les deux héros un peu déjantés mais fichtrement sympas de «2401» et «Chaos».
Comme d’hab, une enquête étrange qui démarre devant un barbecue familial pour se déchaîner dans l’océan arctique et au milieu des volcans d’Islande !
Un livre très actuel qui risque de déranger, de choquer même, car il remet nombre d’idées reçues en question. Une seule garantie : ça va déménager !
Mon avis :
Rholala!!! Mais à chaque fois qu'il écrit un nouveau roman, je suis subjuguée! Cet auteur était déjà très bon lors de ma lecture de "2401", il a été bluffant avec "Chaos" et là, il est vraiment magnifique avec cette dernière partie de trilogie! Quelle merveille! Cet auteur est un ovni, vraiment! L'écriture est singulière et les intrigues toujours bien trouvées.
Dans ses textes, il se permet de parler au lecteur et de manière vraiment drôle et intelligente. Quant à l'histoire, elle est merveilleuse et magnifiquement bien construite! J'adore!
Ce thriller est parfait pour moi, rien de négatif! Que du bon! Des personnages sympathiques (ou pas!) et bien décrits et analysés, des situations cocasses et dangereuses, des péripéties toujours plus impressionnantes les unes que les autres et une intrigue parfaitement bien construite! Bravo! On suit cette jeune femme, Liddy, et on a peur pour elle à chaque page. Les enquêteurs sont vraiment tous super sympas, on a envie de les avoir pour amis, j'aime beaucoup le caractère bien trempé de Lieve, ce petit bout de bonne femme qui ne lâche rien et qui est folle amoureuse de son nounours de mari Johan! D'ailleurs, ces deux personnages sont très importants et l'auteur a su leur donner une place tellement grande dans ses textes que l'histoire ne peut être que parfaite!
L'auteur a réussi à faire d'une trilogie une vraie belle histoire avec 3 intrigues parfaitement menées. Les à-côtés sont parfaits et cette trilogie ne peut qu'être lue et appréciée par les fans de thrillers, de suspense et d'action. Le rythme est soutenu et même quand on pense être au bout, un événement survient inopinément et nous fait douter de tout. Tout est réunit et bien construit! Bravo!
Je rappelle que c'est une trilogie mais que chaque histoire peut être lue indépendamment des autres. Mais c'est mieux dans l'ordre! Bonne future lecture à vous!
Le blog "Les lectures de Maryline" a chroniqué "Bluff", le dernier roman de Bob Boutique. Un coup de coeur !
Résumé de l'éditeur :
«Bluff» est le troisième volet de la trilogie du «Bouledogue et de la Petite» dans laquelle on retrouve, dans une aventure totalement différente, Johan et Lieve, les deux héros un peu déjantés mais fichtrement sympas de «2401» et «Chaos».
Comme d’hab, une enquête étrange qui démarre devant un barbecue familial pour se déchaîner dans l’océan arctique et au milieu des volcans d’Islande !
Un livre très actuel qui risque de déranger, de choquer même, car il remet nombre d’idées reçues en question. Une seule garantie : ça va déménager !
Mon avis :
Rholala!!! Mais à chaque fois qu'il écrit un nouveau roman, je suis subjuguée! Cet auteur était déjà très bon lors de ma lecture de "2401", il a été bluffant avec "Chaos" et là, il est vraiment magnifique avec cette dernière partie de trilogie! Quelle merveille! Cet auteur est un ovni, vraiment! L'écriture est singulière et les intrigues toujours bien trouvées.
Dans ses textes, il se permet de parler au lecteur et de manière vraiment drôle et intelligente. Quant à l'histoire, elle est merveilleuse et magnifiquement bien construite! J'adore!
Ce thriller est parfait pour moi, rien de négatif! Que du bon! Des personnages sympathiques (ou pas!) et bien décrits et analysés, des situations cocasses et dangereuses, des péripéties toujours plus impressionnantes les unes que les autres et une intrigue parfaitement bien construite! Bravo! On suit cette jeune femme, Liddy, et on a peur pour elle à chaque page. Les enquêteurs sont vraiment tous super sympas, on a envie de les avoir pour amis, j'aime beaucoup le caractère bien trempé de Lieve, ce petit bout de bonne femme qui ne lâche rien et qui est folle amoureuse de son nounours de mari Johan! D'ailleurs, ces deux personnages sont très importants et l'auteur a su leur donner une place tellement grande dans ses textes que l'histoire ne peut être que parfaite!
L'auteur a réussi à faire d'une trilogie une vraie belle histoire avec 3 intrigues parfaitement menées. Les à-côtés sont parfaits et cette trilogie ne peut qu'être lue et appréciée par les fans de thrillers, de suspense et d'action. Le rythme est soutenu et même quand on pense être au bout, un événement survient inopinément et nous fait douter de tout. Tout est réunit et bien construit! Bravo!
Je rappelle que c'est une trilogie mais que chaque histoire peut être lue indépendamment des autres. Mais c'est mieux dans l'ordre! Bonne future lecture à vous!
Un nouvel extrait de l'ouvrage à paraître signé Nicole Graziosi "La fille aux yeux bandés"

« La fille aux yeux bandés » est sur le point de paraître !
Nicole Graziosi nous en a récemment présenté deux extraits
« déconcertants », « qui glacent les sangs », « ne sont pas anodins » ou éveillent des curiosités. En voici deux autres au ton légèrement différent ...
Seule la mère, une unique fois, vint me voir à Bruxelles. Elle resta deux jours chez moi. Elle vint me chercher le soir au bureau où, sur le pas de la porte, je lui présentai mon germanique supérieur hiérarchique.
« J’espère qu’elle ne vous fait pas trop enrager ! » lui lança-t-elle avec son plus beau sourire. Ne connaissant ni le mot ni l’expression, il se tourna vers l’huissier de service, et lui demanda de traduire dans leur langue maternelle commune : Qu’est-ce que c’est « enragé ? » Malheureusement pour moi, l’huissier ne connaissait que l’acception zoologique du terme. Le supérieur devint écarlate. « Qui est enragé, Madame, qui est enragé ? » Sans doute croyait-il que j’avais fait part à la mère de ses demandes réitérées et insistantes de rapprochement. Sans doute croyait-il que ses manoeuvres pour me faire congédier pour incapacité, - j’étais en effet dans l’incapacité de donner suite à ses insistants désirs - lui avait été dévoilées ...
Je devais faire face à une obstruction vengeresse de tous les instants : taper sur deux claviers différents n’est pas tâche facile lorsqu’importe le rendement, a fortiori s’agissant de langues étrangères. Ne pouvoir m’absenter du bureau une minute sans devoir rendre des comptes ou subir des reproches.
- Je n’ai pas encore fait ce travail ? Aber wo bleibt es ?
- Je l’ai déposé sur votre chaise, Mademoiselle, puisque vous n’étiez pas à votre place.
- Oh ! Je suis désolée. Si vous l’aviez mis sur mon bureau, il ne m’aurait pas échappé... je ne m’assieds jamais sur mon bureau !
M’entendre dire « Si vous voulez continuer à travailler ici, cessez de faire votre chignon, laissez vos cheveux libres sur vos épaules ». Devoir rester tard le soir, alors que bureaux et couloirs sont désertés. « Non merci, il ne faut pas me raccompagner ». « Non merci, un petit verre ne me tente pas ».
Ce manque de docilité, assez rare dans ce contexte, faillit me coûter ma brillante situation. Le monsieur n’avait pas l’habitude que l’on résiste à son charme teutonique.
Ce fut grâce à l’intervention de quelques personnes honnêtes que je dus de n'être pas congédiée. On m’affecta à un autre service.
Lors d’un de mes brefs séjours chez les parents, il se passa un incident qui eut dû me faire comprendre ce que, le plus naturellement du monde, je ne voyais pas. Le père se mit en colère parce que je lisais L’Express. J’en parlai à la mère qui, à son tour, se mit en grande excitation et me dit « Mais enfin quand est-ce que tu vas nous foutre le camp d’ici une bonne fois pour toutes ! »
Je montai voir le père dans le bureau qu’il venait de se faire aménager au second étage et où il s’était réfugié et lui demandai ce qui se passait.
« Je ne comprends pas ... Qu’est-ce qui vous arrive ? Mais enfin qu’est-ce que j’ai fait ? »
« Fous le camp » fut sa seule réponse.
Le geste du bras tendu, index pointé en direction de la porte soulignait l’irrévocable injonction. Il m’apparut évident qu’un tel consensus ne laissait aucune place à mon besoin de justifications.
Grand-Mère à qui je m’adressai en dernier ressort se mit à pleurer, m’attira vers elle, m’embrassa, ne dit rien.
Je repartis vers ce que, dorénavant, je devais bien considérer comme ma seule et vraie vie.
"Poésies en gouttelettes"... Une présentation de son recueil à paraître signée Antonia Iliescu
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Ça y est ! L’exemplaire-teste de mon ouvrage Poésies en gouttelettes – Épigrammes est en route. En avant-première je vous présente la couverture et trois épigrammes : (Thème : Les lois de la physique) Nombres, lois et théorèmes Font peut-être l’Univers ; Seulement s’il était poème Il serait un Multivers.
(Thème : Vieillesse) Projets à 90 ans - Quel projet de vie avez-vous ? (Demande un journaliste à une mamie). - Manger et boire, mais avant tout, Ne pas mourir ; c’est mon projet de vie.
(Thème : Nature) Y’a plus de guerres, ni génocides Soyez heureux, mangez, buvez ! Je lève la coupe aux pesticides : Tchin-tchin ! À votre santé ! |
"Monsieur qu’aimez-vous donc de moi ?", une poésie extraite du recueil signé Carine-Laure DESGUIN "Spirales urbaines"

Monsieur qu’aimez-vous donc de moi ?
Monsieur qu'aimez-vous donc de moi
Dites-le une fois au moins que je le sache
Livrez ces secrets avant qu'ils ne s'arrachent
Tous seuls et trébuchent vers un autre trépas
Vous aimez regarder et languir et attendre
Ces instants désirés aux humeurs de printemps
Ces instants vous savez ce sont eux qui m'enchantent
Ils me forcent à écrire ce que mon coeur ressent
Nous n'en savons pas plus vous et moi
L'un de l'autre
Que ce matin de juin quand le soleil entra
Et que la porte close
Vous comprîtes mais pas moi
Que cette première fois
En attendait bien d'autres ...
Carine-Laure Desguin
Valérie Dereppe nous présente à sa façon son ouvrage à paraître "Etrange présence"

La pupille, ce trou noir dont l’iris est le soleil...
Mettre photo de couverture avec miroir soleil noir en son centre
Cet opuscule, Étrange présence, narre la rencontre entre un être de Lumière et son habit de matière, entre le fond et la forme qui revêt ici le surnom de Lou. Lou traverse une crise existentielle et cet être de Lumière -son ange en somme-, va remettre un peu d’ordre dans ses idées, dans ses pensées et, ce faisant, la tirer vers le haut.
Extrait :
- Pourquoi me racontes-tu tout ça, pourquoi à moi ?
- Parce que tu m’as appelé et que tu vas l’écrire.
- Je t’ai appelé ?... Non mais je rêve ou alors il te manque une plume !
- J’apporte une plume à ton âme pour réapprendre à voler…