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430 résultats pour “Rue Baraka

EMILIE DECAMP ET "RUE BARAKA" de CARINE-LAURE DESGUIN

Publié le par aloys

CDL.jpgJ’ai lu et je vous conseille… « Rue Baraka » de Carine-Laure Desguin (Editions Chloé des Lys)

 


Tarek est jeune. Tarek erre. Il erre dans les rues comme il erre dans sa vie. Il est révolté. Comme un adolescent qui désespère de réussir. Jusqu’à ce qu’une rencontre bouleverse le cours de sa vie.


Ce roman regroupe peu de personnages. Mais pour cette histoire, il n’en faut pas plus. Elle se joue tout en simplicité et mise beaucoup sur la réflexion. Celle de Tarek mais aussi celle du lecteur. Chacun des acteurs a son propre rôle, sa propre personnalité et donne à l’histoire un petit plus. S’il en manquait un ou, si au contraire, il y en avait un de plus, l’histoire en pâtirait. Autant dire que c’est  donc très justement dosé. Et, que ce soit à l’un ou à l’autre, on s’y attache et on les suit jusqu'au bout de la Rue Baraka.

image-1

            Alors, au gré de ces 82 pages, on évolue avec l’histoire, avec Tarek et on découvre peu à peu de nouvelles choses, de nouveaux récits, de nouveaux secrets. Comme un puzzle qui se complète peu à peu, on avance, lentement mais surement.


            Personnellement, j’ai beaucoup apprécié la lecture de ces pages, la rencontre de Tarek… Furtivement, ce texte nous emmène à la Rue Baraka, découvrir LE secret.


Parsemé de questions qui nous font réfléchir sur la vie et sur nous-même, ce roman nous oblige à nous remettre en question.


Au fond, nous sommes tous –ou avons tous déjà été- un peu « Tarek » et la « baraka » est au coin de la rue,  à nous attendre. Pour chaque individu, une –voire des- rencontres change(nt) la vie !


Sans plus attendre, découvrez celle de Tarek et le secret inestimable d’un vieil homme.

 

 

 

 

Emilie Decamp

http://www.emiliedecamp.com/

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Céline Gierts : j'ai lu Rue Baraka de Carine-Laure Desguin

Publié le par christine brunet /aloys

giertstete

 


Je reviens de la rue Baraka, j'y ai rencontré des personnages haut en reliefs, Clara débordait presque des pages du livre. Un petit théâtre trés expressif s'est animé devant moi et j'aiimage-1 retrouvé avec plaisir l'évocation de mes coins préférés de Mont Martre.

A mettre entre toutes les mains de nos "tarek" déprimés. Si Carine Laure applique ses créations lors de ses soins à domicile, elle doit faire entrer un peu de soleil chez tous ses patients. Vu son ouverture, sa bienveillance et sa disponibilité, elle doit être parente avec ce vieux peintre sympathique. Merci pour ces pensées positives!

 

 

Céline Gierts

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Josy Malet-Praud a lu "Rue Baraka" de Carine-Laure Desguin

Publié le par aloys.over-blog.com

Visuel-Auteur---PDNA.jpg

 


Un livre à la présentation énigmatique : petit volume, première de couverture jaune – entre rayon de  soleil et champ de moutarde-, pas d’illustration … Mais de quoi s’agit-il donc ? Le titre s’impose en blanc, qui porte en lui comme une réponse, l’essence de ce premier roman : Rue Baraka. La rue de la chance.


J’ai tourné la dernière page ce matin.  Je sais que ma lecture et mes commentaires ne pourront jamais être totalement impartiaux : c’est ainsi lorsque je connais l’auteur, ou le pressens, même –juste un peu et de loin-. Néanmoins, ce dont je suis certaine, c’est que Carine-Laure Desguin a mis dans son premier ouvrage ce qui, me semble-t-il, la caractérise le mieux : l’enthousiasme, le rejet des déterminismes, la passion pour la vie quelle qu’elle soit, un élan positif infaillible. Rue Baraka, c’est un condensé de tendresse, de sagesse, de respect de tous les –autres-, d’optimisme farouche en toutes circonstances. La  volonté inaltérable d’installer la lumière là où les ombres se disputent l’esprit et le cœur des hommes.image-1

 

Rue Baraka, c’est l’histoire simple et pourtant magique, du grand tournant dans l’existence d’un jeune homme, Tarek,  emblématique de sa génération. L’histoire éternelle et cruciale d’un passage initiatique. Celle de –l’heure des choix-. Celle des –carrefours- où chacun doit choisir une route plutôt qu’une autre. Souvent en aveugle, presque toujours à tâtons. Ici, Tarek découvre –la baraka- en la personne d’un vieil artiste peintre, au cœur grand ouvert comme les horizons qu’il rend accessibles.

 

Ni morale conservatrice, ni leçon de vie radicale imposée, Rue Baraka pétille d’accents philosophiques, d’humour et de tendresse.  Quatre-vingt deux pages pour balayer les toiles d’araignées grises et noires du pessimisme et faire voler en éclats la chape d’une sinistrose résignée si « tendance » aujourd’hui. 

 

Il y a chez Carole-Laure Desguin et sa Rue Baraka, un petit quelque chose de Khalil Gibran et son Prophète. Ce sentiment diffus s’est fait récurrent  tout au long de ma lecture. La foi humaniste et l’universalité des valeurs fondamentales pourraient bien être leurs traits d’union…

 

Pour conclure, comme le ferait certainement Tarek, il me reste à souhaiter à Carole-Laure Desguin… « Bonnes nouvelles, succès, et chance, chance, chance… ».

 

Extrait

« Les jeunes gens du quartier, physique de délinquants et cœurs de papier mâché, bifurquent ici, certains que le vieux peintre guérira par son aspect débonnaire et ses paroles indulgentes les aspérités d’un quotidien amer. Cette flopée d’énergumènes, aux origines éclectiques, permet à ce couple généreux de se ressourcer et de transmettre, d’ouvrir de nouveaux horizons et de ne pas restreindre les leurs… »

 

 

Josy Malet-Praud, Juillet 2010

www.lascavia.com

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NADINE GROENECKE: j'ai lu "Rue Baraka" de Carine-Laure Desguin

Publié le par aloys.over-blog.com

nadine groeneckeJ’ai lu « Rue Baraka » de Carine-Laure Desguin

 



"La vie distribue les cartes et puis chacun s'en arrange", cette citation de Xavier Deutsch, bien en évidence sur le blog de Carine-Laure, aurait aussi bien pu figurer dans son livre « Rue Baraka ». Certains, il est vrai, détiennent plus d’atouts que d’autres dans leur jeu. Mais les plus mal desservis doivent-ils pour autant baisser les bras ?



Tarek, personnage principal de l’ouvrage, est de ceux qui ont du mal à sortir la tête de l’eau. Le jeune homme trimballe en effet son mal-être dans les rues de son quartier sans grand espoir de s’en départir. Etouffé dans sa bulle, il ne perçoit rien de la vie qui l’entoure : les bruits, les couleurs, les odeurs... Tout l’indiffère, quand soudain se produit une rencontre inopinée, celle avec un vieil homme, artiste au grand cœur, qui lui ouvre sa porte. image-1



Dans l’atelier du peintre chargé de souvenirs, Tarek va se livrer puis écouter son hôte lui transmettre le secret du bonheur. Mais point de leçon de morale dans le livre de Carine-Laure, rien que des messages d’espoir et d’encouragement, distillés par « l’ancien » avec tact et patience, comme celui qui suit : « Tu as de beaux yeux qui pourraient être éclatants si tu y déposais la petite flamme de l’espérance. Tu as deux jambes agiles, deux bras costauds. Tu possèdes tout pour que tes jours prochains s’égaient des couleurs que tu auras choisies… C’est TOI qui choisis les couleurs ! » 



Tarek se laissera facilement embarqué dans le monde bigarré de sa rencontre providentielle ; avec lui nous voyagerons dans le Montmartre de la grande époque, nous ferons connaissance avec Clara, compagne du vieil homme qui n’a pas la langue dans sa poche, et avec Henry, leur volubile perroquet perché sur le frigo américain de la cuisine. Un univers artistique et familial des plus attachants. Mais « Rue Baraka » c’est aussi un récit qui nous invite à la réflexion au travers des propos que s’échangent ces deux hommes que tout semble opposer.



Alors plongez-vous sans hésiter dans la lecture de « Rue Baraka », vous en ressortirez plein d’entrain car c’est un véritable hymne à la vie !

 



Nadine Groenecke

 

http://nadinegroenecke-auteur.over-blog.com/

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Carine-Laure Desguin à Dunkerque pour Rue Baraka

Publié le par christine brunet /aloys

Carine-Laure Desguin à Dunkerque pour Rue Baraka

— Alors Carine-Laure, te voilà chez nous, en France ? Quid de cette aventure ?

— Bonjour Christine (http://www.christine-brunet.com/)! Oh, tu sais, c’est tout simple. Je suis membre de l’ADAN (http://adan5962.e-monsite.com/pages/qui-sommes-nous.html), Charleroi est à un jet de pierres de Maubeuge. Ma maman étant originaire d’Erquelinnes (à quelques centimètres de Maubeuge), je me rends très souvent dans de ce côté-là de la frontière. Voilà, tu sais tout !

— Si je comprends bien, tu rencontres un groupe de lecteurs ?

— Oui, tout est bien préparé. Ces lecteurs ont lu Rue Baraka et…

— Rue Baraka ! On en parlera toujours de ce roman ! http://carineldesguin.canalblog.com/pages/rue-baraka--roman--editions-chloe-des-lys--2010/32062283.html

— Mais Christine, ce livre est quand même la recette de la potion magique qui permet, une fois ingurgitée, de réaliser nos rêves ! Tout le monde veut réaliser ses rêves !

— Allons, allons, tu exagères encore, Carine-Laure !

— Peut-être, mais c’est toi qui es marseillaise, un comble…Je te signale que je suis la preuve vivante que ce livre ne ment pas…

— Comment ça, Carine-Laure ?

— Depuis que j’ai écrit Rue Baraka, je réalise mes rêves…

— Ah ? Tu m’expliques tout ça, je suis assez cartésienne ! Je sais que ce livre connaît un beau succès et que tu as même écrit une version théâtrale mais quand même …

— Christine, depuis la sortie de ce livre, je n’arrête pas d’écrire, de publier, de rencontrer des lecteurs. Tout cela, c’était mon rêve.

— Ouais, n’insistons pas. Et donc tu rencontres tes lecteurs à Dunkerque, tu nous dis où, à quelle heure etc…

— Oui, voici l’adresse de cette brasserie, en plein cœur de Dunkerque :

L’escadre

Place du Casino, 25,

59240 Dunkerque

— A quelle heure, Carine-Laure ?

— Rendez-vous à 18 heures ! Le mercredi 20 avril !

— C’est parfait, Carine-Laure ! Les éditions Chloé des Lys te souhaitent une belle soirée…Tu parleras de tes autres livres ?

— Je répondrai à toutes les questions des lecteurs. La responsable du groupe a pris connaissance depuis plusieurs mois de mon press book et de toutes mes activités. J’espère que les questions jailliront.

— Alors, ce sera une suuuuper soirée, Carine-Laure !

— Merci, Christine !

— Pour ceux qui ne connaissent pas encore Carine-Laure Desguin, voici son press book et n’hésitez pas à circuler sur son blog..

http://carineldesguin.canalblog.com/pages/press-book/32061526.html

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CHRISTINE BRUNET : Rue Baraka de Carine-Laure Desguin...

Publié le par christine brunet /aloys

Photo Christine BrunetImpressions de lecture

 



Je lâche le livre et me rapproche de la très large baie vitrée de mon salon qui donne directement sur le jardin. Il est coloré en cette saison mais le ciel est gris, pesant... A part ce petit rayon de soleil qui s'infiltre encore timidement entre la masse triste... Voilà, c'est cela, Rue Baraka...


C'est un tourbillon de mots comme une spirale infernale qui propulse de la lassitude vers l'espoir, de la grisaille vers la couleur, de la nuit du doute vers la lumière éclatante.


C'est une spirale de vie, une spirale de pensées et le vide s'emplit alors de rêves... et de phrases phares martelées qui entaillent le gris uniforme. Quelles phrases? Elles sont le secret... image-1.jpg


On en sort un peu saoul, groggy de cette déferlante de couleurs... 


Voilà... Le soleil brille....


Et l'histoire? Et les personnages? me demanderez-vous... Ils sont là, le maître éblouissant, l'élève ébloui...

 

Et le lecteur ? Eh bien, il contemple avec un petit sourire satisfait le rayon de soleil qui illumine, à présent, son jardin...


 

CHRISTINE BRUNET

http://recreaction.over-blog.org

http://aloys.over-blog.com


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Martine Dillies-Snaet a lu Rue Baraka de Carine-Laure DESGUIN

Publié le par christine brunet /aloys

MARTINEJ’ai lu « Rue Baraka » de Carine-Laure Desquin

 

 

 

            Avant de commencer la lecture de son ouvrage, je me demandais quelles surprises me réservait ce diable d’auteur  avec qui  j’ai partagé une  pizza des  plus infectes !


            Infirmière de profession, Carine-Laure DESGUIN  passe sa vie en réserve, en retrait, « en écoute » des autres et, a contrario, ce diable d’auteur libère un punch du tonnerre quand elle laisse ses mains pianoter le silence. Derrière son clavier, elle exulte, trouve le mot, sa famille et la technique pour les propulser au sommet d’un ouragan qui emporte. Elle ratisse large et tout le monde la  suit dans son trop-plein de vie délirant.

Pourtant, si vous la rencontrez, elle vous installe dans le silence et la quiétude dont elle s’est fait des alliés.

 

            Celui qui a aimé « Le  fabuleux destin d’Amélie Poulain » de Jean-Pierre Jeunet  et « Truman Show » de Peter Weir adoreront son récit. Le verbe est juste. L’écriture  impeccable  sent bon la gaieté,  les couleursimage-1 et l’optimisme. Si vous êtes stressés et avez le teint grisâtre, vous vous accrocherez peu à peu  à cette rencontre. Avec un air de ne toucher à rien, si ce n’est par ce savoir-faire, Carine-Laure DESGUIN vous forcera à ouvrir les yeux et vous entraînera dans la rue Baraka colorée qui est en chacun d’entre nous.

Et le cheminement sera bon.

 

            Les descriptions sont superbes. Mille touches de senteur,  de couleur qui,… paf/paf/paf/ sont claquées  sur la toile à un  rythme de claquettes. Même la palette du peintre fait partie inhérente du jeu : l’auteur n’est pas étranger à son histoire, le lecteur l’y sent partout.

 

            « Autour d’eux, les gens se parlent, s’occupent, achètent le journal, le pain, le kilo d’oranges ». Si je ne devais retenir qu’une seule phrase de ce livre, ce serait celle-là. Rien à voir avec l’histoire, avec la philosophie du récit, mais pour moi, elle est un morceau de musique à part entière. Rien que pour ces mots-là, pour avoir trouvé cet assemblage,  Madame Carine-Laure DESGUIN, merci.

 

            Alors, en un mot, si vous avez aimé « Amélie Poulain », vous aimerez «  Rue Baraka ».

 

 

Martine Dillies-Snaet

http://users.skynet.be/TheDillies/

Publié dans Fiche de lecture

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Gauthier Hiernaux a lu Rue Baraka de Carine-laure Desguin

Publié le par aloys.over-blog.com

gauthier hiernaux2  J'ai lu Rue Baraka de Carine-Laure Desguin

 

 

De Carine-Laure Desguin, je ne connaissais, au départ que le nom.

 

Ensuite, nous nous sommes contactés, pour une histoire de référencement, si j'ai bonne souvenance. Elle m'a répondu de manière à la fois très précise, à la fois très enthousiaste. Je pense que c'est exactement ces deux termes qui la caractérisent : enthousiaste et précise.

 

Carine-Laure est le genre de personne qui, j'en ai la conviction, aime faire plaisir et délivre ses bienfaits avec un immense plaisir. Elle est à l'image du vieux peintre et de sa compagne face aux « Tarek » que nous sommes ou que nous pourrions potentiellement être.

 

Comme d'autres avant moi, j'ai lu RUE BARAKA.

 

Est-il utile de souligner l'évidence ? Dois-je insister sur l'optimisme qui se dégage de chaque page de cet ouvrage, très court et fulgurant, publié il y a quelques mois chez notre éditeur commun ?

 

Lorsque je lis les critiques publiées de manière régulière par des aficionados de Carine-Laure, je me rends compte qu'ils sont déjà tout dit.

 

Du livre, bien entendu.

 

Ses qualités intrinsèques, nous sommes tous d'accord. RUE BARAKA déborde d'optimiste, d'optimisme contagieux qui, comme je l'ai déjà lu, devrait être vendu, sans prescription en pharmacie.

 

Nous n'oublierons pas de sitôt les trois personnages principaux du récit qui, s'il peut être lu en quelques heures, se déroule dans notre tête des jours après, encore et encore, comme le refrain d'une chanson. Le refrain de Carine-Laure, c'est la recette du bonheur, du « mieux-être », du repas de Noël dans une famille unie.   

 

Merci Carine-Laure pour cette piqûre de rappel, au combien salvatrice, qui nous rappelle que le bonheur est à portée et qu'il suffit parfois. de le saisir.

 

 

 
 

 

GAUTHIER HIERNAUX

grandeuretdecadence.wordpress.com

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Quoi de neuf en février sur notre blog ?

Publié le par christine brunet /aloys

Quoi de neuf en février sur notre blog ?
Quoi de neuf en février sur notre blog ?Quoi de neuf en février sur notre blog ?
Quoi de neuf en février sur notre blog ?Quoi de neuf en février sur notre blog ?

Patrick Beaucamps est à l'honneur dans la presse :

  • Le capital des mots (2e semestre)
  • Traversées (décembre 2014)
  • Lelixire (n°9-2014)
  • 17 secondes (n°5-2014)
  • Incertain Regard (n°9-2014)

Nous découvrirons trois poèmes inédits sur notre blog, le premier en février !

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Salvatore Gucciardo reçoit le prix "Artiste pour la Paix"

Salvatore Gucciardo reçoit le prix "Artiste pour la Paix"

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Carine-Laure, des projets plein la tête !

2015, l'année de tous les défis !

 

Petit extrait du blog de Carine-Laure,
à découvrir ici avec quelques révélations sur ses prochains écrits !

http://carinelauredesguin.over-blog.com/article-190-quelques-news-125345026.html

 

Je lis aussi que 2015 sera rythmée par un spectacle surréaliste en mars et une lecture vivante de Rue Baraka en mai. C’est beaucoup ! Rue Baraka, c’est ton premier roman, rappelons-le et il y a à présent une version théâtrale.

— Oui, c’est pas mal !

— Quelques mots sur cette soirée surréaliste ?

— Tout est organisé par Bernadette Weyers, de l’Académie de Marchienne. Bernadette est quelqu’un d’exception et elle nous prépare un très bon moment sur le thème du surréalisme. Musique surréaliste car n’oublions pas qu’André Souris était un compositeur de musique surréaliste originaire de Marchienne. Textes surréalistes de Carine-Laure et hum hum, il y aura aussi des cocktails surréalistes et bien d’autres choses ! C’est en mars et nous en reparlerons plus en détails le mois prochain.

— Et mai 2015 ne sera pas triste non plus !

— Non ! Rue Baraka en lecture vivante ! A Mons !

— Mons, capitale de la culture pour cette année 2015, tu seras en quelque sorte de la partie…

— Si on veut, oui, mais restons modestes. Rue Baraka, en lecture vivante par le Box Théâtre, ce sera un très très bon moment. J’ai hâte. Pour cette soirée-là aussi, les détails dans quelques temps. Merci et bienvenue à tous.

 

Infos Box Théâtre: http://box.theatre.over-blog.org/

 

 

 

 

Rue Baraka, Carine-Laure Desguin

Rue Baraka, Carine-Laure Desguin

Emilie DECAMP dans la presse et à la radio...

 

écoutez son interview sur Bel-RTL: http://www.rtl.be/videobelrtl/video/520073.aspx

 

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Les auteurs à l'honneur ce mois-ci

 

 

  • Jana Rehault
  • Bob Boutique
  • Joël Volpi
  • Marcelle Pâques
  • Salvatore Gucciardo
  • Noëlle Fargier
  • Robert Fontaine
  • Laurence De Troyer
  • Nadine Groenecke
  • Carine-Laure Desguin
  • Didier Fond
  • Patrick Beaucamps
  • Emilie Decamp
  • Marcelle Pâques
  • Marie-Charlotte Declève
  • Louis Delville
  • Florian Houdart
  • Delphine Schmitz
  • Micheline Boland
  • Christian Eychloma
  • Régine Laprade, notre invitée !

Publié dans ANNONCES

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Christina PREVI a lu "Rue Baraka" de Carine-Laure Desguin

Publié le par christine brunet /aloys

Christina PREVI a lu "Rue Baraka" de Carine-Laure Desguin

J'ai traversé ce livre comme on part en voyage, le point de départ étant bien entendu la Rue baraka, si présente . Le héros (nous l'avons sans doute déjà tous rencontré) part de la solitude et d'un dégoût profond pour aboutir à un sentiment d'espoir et de foi en vers des lendemain positifs.
C'est dans cette rue toute ordinaire et criante de réalisme qu'une rencontre inattendue sera le point de départ vers une métamorphose laborieuse mais efficace. Il faut dire que la rencontre est de taille à impressionner et toucher le jeune désabusé.

Jouer à "faire comme si" de façon constructive est un sport à pratiquer sans modération pour atteindre son but.
Un extrait de la page 19 résume bien l'aventure:

*Nous devons tous être attentifs. Nous pensons quelquefois la situation
désespérée et soudain, un élément nouveau se déclenche. Le téléphone sonne,
une rencontre fortuite survient, un courrier improvisé surgit, quelqu'un
heurte quelqu'un. *

L'histoire est d'autant plus dense que le roman est court, intéressant donc pour les personnes que la longueur d'une brique rebute.

J'ai beaucoup apprécié mais je suis restée sur ma faim à la fin... j'aurais aimé voir Tarek agir le lendemain...

Christina PREVI

Christina PREVI a lu "Rue Baraka" de Carine-Laure Desguin

Temps d'aventures

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